Mes poèmes! :-) (Page 9)

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16/07/2010, 12h18
Il est trop mignon Smiley Smiley

Smiley
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Ostende Smiley
Marraine de Crack, Tina, Van-Gogh et BoullSmiley
Filleul de Pattoue, Maryse et Perline! Smiley
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16/07/2010, 17h57
Smiley Héloïse
c'est vrai que VG est un Smiley
un peu têtu parfois un peu jaloux mais quand même
il a toujours été Smiley depuis bébé

Smiley Nanou
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11/03/2012, 15h15
Mystou,mon chaton

Tu m'as aidé
A me délivrer
De ce poids
Même si je le ressens encore parfois
Tu es câlin
Gourmand et coquin
Mon petit Mystou
Tu frottes ta tête contre ma joue
Pour(j’espère!)montrer ton affectation
Sache que je t'adore
Et que tu es aussi précieux qu'un trésor.

Cela faisait longtemps que je n'avais pas écrit de poèmes mais en voici un pour mon petit chat que j'adore.

Si un membre en veut un pour son chien,je suis là!! Smiley
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11/03/2012, 19h17
Smiley Héloïse pour ton poême ça faisait longtemps
je suis heureuse que ton petit mimi Mytsou te donne tant de joie
ton petit filleul Van-Gogh va bien
j'espère que tout va bien pour toi tes études ect...
gros câlins Mytsou
gros Smiley de Nanou
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21/03/2012, 12h40
Salut salut, pardon je m'immicer dans la conversation, mais j'ai trouvé un poème sur le net, qui m'a fait penser un peu à cette rubrique Smiley donc boilà la poème posté

Un Loup n'avait que les os et la peau,
Tant les chiens faisaient bonne garde.

Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau,
Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde.
L'attaquer, le mettre en quartiers,
Sire Loup l'eût fait volontiers ;
Mais il fallait livrer bataille,
Et le Mâtin était de taille
A se défendre hardiment.

Le Loup donc l'aborde humblement,
Entre en propos, et lui fait compliment
Sur son embonpoint, qu'il admire.

"Il ne tiendra qu'à vous beau sire,
D'être aussi gras que moi, lui repartit le Chien.
Quittez les bois, vous ferez bien :
Vos pareils y sont misérables,
Cancres, haires, et pauvres diables,
Dont la condition est de mourir de faim.
Car quoi ? rien d'assuré : point de franche lippée :
Tout à la pointe de l'épée.
Suivez-moi : vous aurez un bien meilleur destin. "

Le Loup reprit : "Que me faudra-t-il faire ?
- Presque rien, dit le Chien, donner la chasse aux gens
Portants bâtons, et mendiants ;
Flatter ceux du logis, à son Maître complaire :
Moyennant quoi votre salaire
Sera force reliefs de toutes les façons :
Os de poulets, os de pigeons,
Sans parler de mainte caresse. "

Le Loup déjà se forge une félicité
Qui le fait pleurer de tendresse.
Chemin faisant, il vit le col du Chien pelé.
"Qu'est-ce là ? lui dit-il. - Rien. - Quoi ? rien ? - Peu de chose.
- Mais encor ? - Le collier dont je suis attaché
De ce que vous voyez est peut-être la cause.
- Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas
Où vous voulez ? - Pas toujours ; mais qu'importe ?
- Il importe si bien, que de tous vos repas
Je ne veux en aucune sorte,
Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. "

Cela dit, maître Loup s'enfuit, et court encor.
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