champignons aux pattes

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27/06/2007, 17h52
bonjour,
ma chienne (cavalier king charles) se lèche souvent les pattes et l'autre jour entre les espaces du bout des pattes elle avait une boursouflure et j'ai cru qu'elle avait un épillet qui était rentré je l'ai emmenée chez le vétérinaire qui m'a dit qu'elle avait une sorte de champignon que l'on appelle MALASSEZIA (ça arrrive souvent dans les oreilles) et m'a donné des gouttes OTOMAX mais ce qui est très laid c'est que le poil tout autour est marron et je n'arrive pas à faire partir cette couleur !
avez vous rencontré ce genre de problème et si oui que faut il lui passer pour faire disparaitre complètement ce champignon et cette vilaine couleur marron ?

cordialement à vous et à bientôt
Runny
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27/06/2007, 17h58
Je crois que l'essentiel est de soigner le chien....

La couleur marron partira avec le temps.... RIEN DE DRAMATIQUE.

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27/06/2007, 18h54
Vanie qui se "grignotte" et se lèche les pattes de temps en temps à le même soucis que ta chienne, et donc ses pattes deviennent aussi marron
est ce que ça ressemble à ça ?


c'est vrai que ce n'est pas très beau, mais dès qu'elle arrêtera de se toucher les pattes, la couleur redeviendra normale, enfin pour Vanie ça se passe comme celà Smiley
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pensées à notre Smiley Perline
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27/06/2007, 20h14
bonjour Mouminette,

merci pour ta réponse, oui ça fait cela mais elle n'en a pour l'instant qu'à un "doigt" et c'est à l'intérieur dans les interphalangiens et comme les poils sont plus long la couleur se voit plus
tu dis que dès qu'elle arrêtera de se lécher les pattes la couleur redeviendra normale donc çà me rassure mais est ce que tu lui donne un traitement à Vanie pour qu'elle arrête de se lécher ? et as tu su comment elle avait attrapé cela ?
elle est très jolie cette petite Vanie, j'adore aussi ces chiens !
bonne soirée et A +
Nanou
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27/06/2007, 20h32
en fait d'après mon vétérinaire, ça serait plutôt une sale manie par rapport à un comportement un peu anxieux, car elle veut tout gérer dans la maison Smiley
et donc c'est plutôt comportemental qu'un problème de santé. c'est en fait un cercle vicieux parce quand elle est un peu inquiète (que par période) elle se lèche et du coup ça provoque une inflammation et qui du coup la démange Smiley
quand elle a ses crises et que c'est trop important, je lui mets un peu de corticoïde, ou je lui pulvérise du spray répulsif au léchage.
j'ai une autre photo, pour te montrer comment c'est entre "les doigts de pieds"
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pensées à notre Smiley Perline
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27/06/2007, 21h39
je comprends cela fait un peu comme chez les humains qui ont de l'exéma quand ils stressent !!

en fait cela fait un peu comme chez les humains quand on stresse et qu'on a la gratouille, mais comme eux ils se léchent ça n'arrange pas les choses !
en tout cas merci pour toutes ces infos
un gros calin à Vanie
on les aime tellement !!
Bonne soirée
Nanou












Smiley Smiley Smiley
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28/06/2007, 09h03
Pour Runny et Mouminette : INFOS pododermatites :

On appelle pododermatite un ensemble d'affections cutanées atteignant un ou plusieurs pied(s). Il s' agit chez le chien d' une entité extrêmement fréquente, qui pose de nombreux problèmes de diagnostic et de traitement.

ELÉMENTS D'ANATOMIE
Deux zones distinctes doivent être envisagées : la face dorsale et la face ventrale qui est en contact avec le sol (encore appelée face palmaire pour les membres antérieurs et face plantaire pour les postérieurs). A ce niveau, la peau présente une structure similaire à celle du reste du tégument cutané. Les griffes sont des productions cornées spécialisées qui ont de multiples rôles : déplacement, préhension, protection... Elles sont constituées de kératines très dures, empilées en amas. Enfin, les coussinets sont des zones particulières, au niveau desquelles l'épiderme est extrêmement épais et festonné. une spécialité à part entière en dermatologie.Ils permettent une adhérence optimale grâce à la présence de nombreuses villosités et de certaines glandes sudoripares. En outre, ils protègent les autres structures podales des traumatismes lors des déplacements.
Les pieds du chien contituent une zone humide et chaude, avec de nombreux replis, subissant en permanence des traumatismes. Ils sont également en contact direct avec l'environnement, ce qui les prédispose à des blessures. On comprend donc aisément qu'un grand nombre d'affections cutanées soient rencontrées dans cette zone. Dans l'espèce canine, la majorité des lésions du pied concerne les espaces interdigités et les doigts. Les coussinets sont rarement atteints, au contraire de l'espèce féline, ainsi que les griffes au contraire de l'espèce humaine pour laquelle la pathologie des ongles constitue

PRINCIPALES DERMATOSES RENCONTREES AU NIVEAU DU PIED PODODERMATITES ENVIRONNEMENTALES
Une des premières causes d'atteinte cutanée podale est liée au contact avec l'environnement. La présence de substances irritantes ou caustiques est à l'origine du développement de dermatoses inflammatoires irritatives, qui sont fréquentes au contraire des dermatoses par allergie de contact vraies. Les hydrocarbures, les herbicides, les engrais, etc. peuvent être responsables. Les lésions regroupent l'apparition de rougeurs et de léchage intense, parfois de boiterie. La mise en évidence de la substance responsable de l'apparition des lésions cutanées est parfois difficile. Le traitement nécessite un nettoyage soigneux. Il faut éviter de futurs contacts avec la substance corrosive. Les brûlures et les gelures sont rares. Elles surviennent le plus souvent chez de jeunes chiots. Leur éventuelle apparition impose d'être attentif lors de séjours à la montagne. Une prophylaxie (tannage des coussinets palmaires et plantaires) est souhaitable. Les épillets de graminées provoquent souvent des lésions au niveau podal. Ces corps étrangers pénètrent dans les espaces interdigités, en créant des lésions fistuleuses, parfois profondes, qui engendrent une boiterie et un léchage intense, d'appariton brutale. Il faut penser à la présence d'un corps étranger face à toute lésion podale unilatérale d'apparition soudaine chez le chien. Le traitement nécessite la découverte et le retrait du corps étranger associé à une antisepsie pendant quelques jours.
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Photo n°1 : Pododermatite bactérienne. Notez les ulcères et les fistules.

PODODERMATITES INFECTIEUSES
Il s'agit de la principale cause de pododermatite chez le chien. Au contraire des pododermatites environnementales, qui atteignent indifféremment un ou plusieurs pieds, ces dermatoses sont le plus fréquemment d'emblée quadripodales (mais pas toujours !). Les agents infectieux en cause sont soit des bactéries soit des levures, soit des parasites. Les pododermatites bactériennes sont dues à la multiplication de bactéries pathogènes dans la peau. Au contraire du reste du tégument cutané, les lésions bactériennes sont peu évocatrices au niveau du pied : on rencontre principalement un épaississement cutané et des ulcérations, éventuellement des fistules (photo n°1). Les pustules sont rares. On rencontre en revanche des lésions sous forme de nodules de plus ou moins grande taille ("kystes interdigités"). A cause de l'environnement facilement souillé et humide de cette zone, les surinfections bactériennes sont extrêmement fréquentes chez le chien et doivent systématiquement être suspectées en cas d'atteinte podale. Le diagnostic nécessite la réalisation d'examens microscopiques du produit des lésions cutanées et le traitement impose l'utilisation d'antibiotiques. Les pododermatites fongiques sont également fréquentes. On retrouve des lésions à type d'exsudat blanchâtre envahissant les espaces interdigités et la face ventrale de la palmure (photo n°2). Les champignons agents de la teigne atteignent rarement les pieds, et il s'agit surtout de levurose Malassezia pachydermatis et Candida albicans. La malasseziose est une complication fréquente des dermatoses allergiques (cf.infra). La candidose est rare. Elle survient après une blessure le plus souvent. Le diagnostic passe par la réalisation d'examens microscopiques de l'exsudat, de cultures fongiques et le traitement est basé sur l'utilisation de substances antifongiques localement ou par voie générale.Les causes de pododermatite parasitaire sont nombreuses. La démodécie se localise très souvent au niveau podal, on parle de pododémodécie. Celle-ci peut évoluer seule ou dans le cadre d'une démodécie généralisée. Les lésions initiales débutent par un érythème ("rougeur" de la peau), éventuellement associé à des squames et à une mauvaise odeur. Les lésions se modifient très rapidement sous l'effet de la macération, des traumatismes et des surinfections, et on note des furoncles, des ulcères, des fistules, une nécrose de la peau (photo n°3). La pododémodécie est difficile à traiter. Il faut rechercher une maladie sousjacente lors d'apparition d'une pododémodécie chez un chien âgé.La trombiculose se localise souvent au niveau des espaces interdigités. Les larves parasites (aoûtats) sont facilement visibles à l'oeil nu, sous la forme de petits points orangés. Elles provoquent un léchage important des extrémités, d'apparition brutale, après une sortie en fin d'été. Un traitement acaricide permet de contrôler les symptômes. La leishmaniose peut se localiser au niveau des pieds. On observe des érosions, des ulcères. Un signe évocateur assez suggestif est l'allongement des griffes de l'animal atteint, mais ceci n est pas toujours rencontré. D'autres parasites sont plus rarement rencontrés, qui affectent des chiens entretenus dans de mauvaises conditions d'hygiène. Les larves sont présentes dans les litières humides et souillées et pénètrent à travers les follicules pileux et/ou la peau en contact avec le sol (espaces interdigités, face ventrale du corps). Elles provoquent l'apparition de démangeaisons et d'érythème, parfois de petites élevures cutanées (papules). Plusieurs chiens d'un effectif peuvent être atteints simultanément. Le diagnostic nécessite la réalisation de prélèvements cutanés ou coprologiques. Le traitement passe par la vermifgugation des animaux et par la désinfection du milieu. Des cas d'épaississement des coussinets chez des chiots atteints de maladie de Carré ont été rapportés sous le nom de "hard pad disease" (maladie des coussinets durcis).

Photo n°2 : Pododermatite à Malassezia : rougeur de la peau, suintements blanchâtres malodorants.

Photo n°3 : Pododémodécie.

PODODERMATITES ALLERGIQUES
Il s'agit de la deuxième cause d'atteinte podale chez le chien après les infestations parasitaires. Les allergies à manifestation cutanée ont été déjà largement traitées précédemment, aussi elles ne seront pas développées en détail ici. Rappelons que toute dermatite allergique chez le chien est prurigineuse, c'est-à-dire qu'elle provoque une démangeaison. Le léchage intensif des extrémités des pattes est un signe majeur de dermatite allergique chez le chien. On peut le retrouver en cas de dermatite atopique (hypersensibilité à des aéroallergènes, acariens, pollens par exemple), de dermatite par allergie/intolérance alimentaire ou, moins souvent, en cas de dermatite par allergie aux piqûres de puces. Enfin, la dermatite par allergie de contact est rare chez le chien, mais peut provoquer l'apparition de lésions uniquement podales. Dans ce cas, la substance allergisante (ou irritante) est présente dans l'environnement et traverse la peau au niveau de la face palmaire ou plantaire des pieds. Les lésions sont donc initialement localisées sur les zones en contact avec le sol (il s' agit d'un élément important d'orientation). On observe des vésicules (rarement), des rougeurs, et un léchage des pied. Des complications bactériennes apparaissent assez vite. Le substances allergisantes sont variées. Il faut être particulièrement méfiant vis-à-vis des détergents, des nettoyants ménagers (surtout ceux contenant de l'eau de Javel), et du ciment ( photo n°5).


Photo n°5 : Allergie de contact au ciment. Les lésions sont initialement localisées à la face en contact avec le sol sans atteinte du reste de la peau.

GÉNODERMATOSES
Un article précédent a traité ces maladies génétiques, qui s'expriment souvent, mais pas systématiquement, dans le jeune âge. Certaines d'entre elles ont une localisation préférentielle au niveau du pied. C'est le cas de la dermatose répondant à l'administration de zinc, de type I chez les chiens nordiques qui présentent une anomalie de l'absorption intestinale de zinc, de type II chez des chiots de races de grande taille en croissance dont la ration est déséquilibrée avec un excès de phytates et/ou de calcium. Les lésions podales sont surtout caractérisées par un épaississement marqué des coussinets plantaires. On peut également noter des squames et/ou des croûtes. Le diagnostic passe par la réalisation de biopsies et le traitement, simple, nécessite une supplémentation en zinc et un rééquilibrage de la ration alimentaire. Chez le Bull Terrier, une maladie rare, l'acrodermatite léthale atteint un ou plusieurs chiots de la même portée. Les animaux sont petits, chétifs et présentent des lésions alopéciques et croûteuses des extrémités rapidement surinfectées. La maladie est mortelle à moyen terme à cause de déficits immunitaires généralisés se traduisant par des infections cutanées, respiratoires et digestives. Certains chiens, principalement des Irish Terriers et des Dogues de Bordeaux présentent une anomalie localisée au niveau des coussinets qui s'appelle l'hyperkératose digitée. Les coussinets sont très épaissis, craquelés, avec la formation de véritables cornes exubérantes. Le traitement est symptomatique et consiste à ramollir l'excès de kératine et à couper ou tailler les lésions.

Photo n°4 : Hyperkératose digitée chez un jeune Dogue de Bordeaux.

PODODERMATiTES AUTO-IMMUNES
Les maladies auto-imunes à expression cutanée sont rares. Elles regroupent diverses atteintes de la peau dues à la destruction par l'organisme de ses propres constituants cutanés. Le pied est une localisation préférentielle de ces dermatites. Parfois il s'agit de la seule région atteinte. Les lésions atteignent les quatre membres, au niveau des coussinets, des griffes, plus rarement des espaces interdigités. On observe des ulcérations, des croûtes, un épaississement des coussinets ( photo n°6), beaucoup moins fréquemment des pustules. Le diagnostic est difficile, basé sur la conjonction d'arguments cliniques, et surtout sur la réalisation de biopsies cutanées. Le traitement nécessite une immunosuppression par les corticoides ou par d'autres molécules. Les vascularites sont des affections des vaisseaux. La plupart d'entre elles sont d'origine auto-immune, mais il existe également d'autres causes (médicamenteuses, infectieuses). Les lésions siègent préférentiellement au niveau des vaisseaux de petit calibre. En pratique les extrémités des membres ou des pavillons auriculaires sont souvent touchées. Cliniquement, il s'agit de lésions ulcératives à l'emporte-pièce, parfois nécrotiques et hémorragiques. Un cas relativement typique est l'ulcère profond localisé au centre d'un coussinet. La maladie des agglutinines froides est due à une coagulation excessive dans les vaisseaux de petit calibre situés au niveau des extrémités lors de temps froid ou du contact avec une substance froide. Les vaisseaux sanguins ainsi thrombosés (ils sont "bouchés") ne permettent plus le passage du sang et on observe une cyanose (aspect violacé de la peau) précédant des pertes de substance à type d'érosions ou d'ulcères.


Photo n°6 : Pemphigus foliacé Epaississement marqué des coussinets. Il s'agissait de la seule localisation lésionnelle chez cet animal.

PODODERMATITES D'ORIGINE COMPORTEMENTALE
Les animaux anxieux présentent parfois une activité dite de substitution, qui consiste à lécher incessamment une zone cutanée facilement accessible : la face dorsale du carpe ou un pied par exemple. Ce léchage est particulier, différent de celui des dermatites allergique : zone atteinte très localisée, animal ne se léchant qu' en cas d'ennui, léchage compulsif, stéréotypé. Rapidement des lésions sont notées : chute des poils, rougeur de la peau, voire suintements et érosions. Le diagnostic est facile s'il existe des signes associés d'anxiété. Il faut parfois avoir exclu toutes les autres causes de léchage podal avant d'envisager cette hypothèse. Le traitement repose sur l'utilisation d'antibiotiques (lésions surinfectées), sur une chimiothérapie anxiolytique et surtout sur une thérapeutique comportementale du propriétaire vis-à-vis de son chien.

PODODERMATITES DIVERSES
D'autres maladies cutanées peuvent affecter préférentiellement un ou plusieurs pieds. Le syndrome hépatocutané est une entité rare du chien âgé, due à la présence d'un cancer du foie ou d'une cirrhose. Les mécanismes d'apparition des lésions cutanées sont inconnus. On décrit des coûtes, des lésions exsudatives au niveau de la face, des jonctions cutanéomuqueuses et des extrémités. Les coussinets sont épaissis et craquelés. Le diagnostic repose sur les biopsies de peau. Aucun traitement n'est efficace. Diverses tumeurs peuvent atteindre les pieds, et certaines d'entre elles semblent présenter une affection particulière pour la matrice des griffes. Il s'agit des carcinomes épidermoïdes et des mélanomes, en particulier chez les Bergers de Brie et les Schnauzers.

CONCLUSION
En conclusion, un très grand nombre de dermatoses atteignent les pieds. Les surinfections sont très fréquentes et rapides dans cette zone facilement souillée, humide et chaude, à replis cutanés, subissant des traumatismes permanents. Ceci explique que le tableau clinique dermatologique est rarement typique, et que le diagnostic des pododermatites est difficile. "Diagnostiquer et traiter les pododermatites chez le chien est l'art de la dermatologie" a déclaré P.J.Irhke, professeur de dermatologie vétérinaire en Californie. Plus que dans toute autre zone, la prévention apparaît donc essentielle. Il faut éviter les traumatismes inutiles, tanner les coussinets trop mous, nettoyer régulièrement les espaces interdigités avec des shampooings adaptés (et bien rincer!), sécher les pattes après une sortie par temps humide, inspecter les espaces interdigités en cas de léchage (rechercher un épillet de graminée, des ectoparasites en particulier larves de Trombicula autumnalis). En résumé être attentif et hygiénique évitera les problèmes au long cours.

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29/06/2007, 00h53
oh là, là Mitsou !
beaucoup de lecture ! je suis pas sure d'avoir tout compris, car c'est un peu trop technique pour moi Smiley mais je te remercie et la prochaine fois que je vais chez le vétérinaire je lui demande un peu plus de détails sur la PODODERMATITE Smiley
pour Vanie, je pencherais plus pour la PODODERMATITE D'ORIGINE COMPORTEMENTALE (en fait, je l'ai trop chouchoutée et "gagatifiée" elle me fait un peu d'hyper attachement, mais je me soigne ! et ça va mieux)
et heureusement ses pattes non jamais été dans un état catastrophique comme sur les photos Smiley

Mitsou Smiley (t'as vu l'écureuil a aussi une PODODERMATITE Smiley )
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pensées à notre Smiley Perline
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15/04/2008, 19h57
Je pense plus d'actualité, mais mon frère qui avait une bulldog anglais lui donnait après sa séparation avec son amie qui lui a laissé tout ses animaux : "Bach Rescue" en goutte mélangé à un peu d'eau (médicament homéopathique) et sa bully paraissait plus calme moins soucieuse.
Fonctionne très bien pour les humains, j'ai essayé.
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