Chien Suédois de Laponie

Chien Suédois de Laponie

Autres noms : Lapphund Suédois
Noms d'origine : Svensk Lapphund ou Ruotsinlapinkoira
Pays d'origine : Suède
Groupe : Chien de type Spitz et de type primitif

Qualités de cette race

Tempérament du Chien Suédois de Laponie

Affectueux
Calme
Facile à éduquer
Joueur
Peut rester seul
Protecteur
S'entend avec d'autres animaux
Sociable

Sociabilité du Chien Suédois de Laponie

Avec les enfants

Le Chien Suédois de Laponie au quotidien

A peu besoin d'exercice
Aboie peu
Vit longtemps
Santé robuste
Nécessite peu d'entretien
Perd peu de poils
Bave peu
Mange peu
Peu enclin à l'obésité

Caractéristiques

Espérance de vie
De 12 à 14 ans
Poids de la femelle
De 13 à 16 kg
Poids du mâle
De 16 à 20 kg
Taille de la femelle
De 40 à 46 cm
Taille du mâle
De 45 à 51 cm

Foyer idéal pour ce chien

Avec des enfants
En appartement
Comme premier chien
Pour une personne peu disponible
Pour une personne sportive
Pour une personne âgée
Pour petit budget

Informations sur le Chien Suédois de Laponie

ApparenceHistoireCaractèreÉducationSantéEntretien
AlimentationUsagesPrixDivers

Le Lapphund Suédois présente toutes les caractéristiques d’un spitz de taille petite à moyenne, avec une tête triangulaire, des oreilles dressées et une queue enroulée.

 

Son corps légèrement rectangulaire est assez massif, mais reste bien proportionné et agile. Les pattes sont musclées et se terminent par des pieds ovales particulièrement poilus, qui peuvent éventuellement avoir des ergots. La queue, touffue, est portée haute et s’enroule sur le dos. Étendue, elle atteint la pointe du jarret.

 

Son crâne est assez long, avec un stop bien marqué. Le museau, plutôt court, se termine par une truffe noir charbon, ou marron très foncé pour les individus à la robe de la même couleur. Les yeux sont grands, ronds, très expressifs, et de couleur brun foncé. Les oreilles sont triangulaires, larges à la base, assez petites et légèrement arrondies.

 

Le sous-poil du Chien suédois de Laponie est très dense et légèrement frisé. Son poil de couverture est quant à lui long, abondant imperméable et peu salissant. Autour du cou, il forme une collerette. Le noir est la couleur de robe la plus commune, mais le marron foncé, « couleur d’ours » aux reflets de bronze, est recherché. Dans les deux cas, des marques blanches sur le poitrail, les pieds et l’extrémité de la queue sont autorisées.

 

Enfin, le dimorphisme sexuel est bien marqué chez cette race, puisque la femelle mesure en moyenne 5 cm de moins au garrot que le mâle.

Taille & poids du Chien Suédois de Laponie

Taille du mâle
De 45 à 51 cm
Taille de la femelle
De 40 à 46 cm
Poids du mâle
De 16 à 20 kg
Poids de la femelle
De 13 à 16 kg

Standard du Chien Suédois de Laponie

Les standards de race sont des documents établis par les organismes officiels qui listent les conditions qu'un Chien Suédois de Laponie doit respecter pour être pleinement reconnu comme appartenant à la race :

Aussi connu sous le nom de Chien Suédois de Laponie ou Svensk Lapphund (son nom en suédois), le Lapphund Suédois est la plus ancienne race de chien originaire de Suède.

 

Son histoire est intimement liée à celle des Samis, un peuple qui vit depuis des milliers d’années dans le nord de l’Europe, au sein d’un territoire qui aujourd’hui s’étend de la Norvège à la Russie. En effet, la majorité des races de chiens nordiques scandinaves proviennent de croisements entre les loups sauvages et les chiens domestiques, réalisés par les Samis il y a plusieurs milliers d’années. Le Lapphund Suédois ne fait pas exception.

 

Des siècles durant, il accompagna les tribus nomades du Grand Nord, les aidant à chasser le renne ainsi que d’autres gibiers de toutes tailles, allant du petit lapin à l’immense élan. Puis, quand les Samis commencèrent à pratiquer l’élevage du renne plutôt que la chasse, il sut s’adapter et devint un excellent conducteur de troupeaux, capable aussi de signaler l’approche de prédateurs. C’est à cette époque qu’il développa son aboiement aigu, qui permettait aux bêtes dont il avait la charge de le distinguer de ces derniers.

 

Dès la fin du 19ème siècle, ce chien était connu et présent dans toute la Suède. Le tout premier chien enregistré auprès du Svensk Kennel Klub (SKK) lors de sa fondation en 1893 était d’ailleurs un Svensk Lapphund.

 

Toutefois, l’évolution des modes de vie et des techniques au début du 20ème siècle, avec notamment l’avènement de la motoneige, entraîna un déclin de cette race. Sans les efforts de Mary Stevens, qui, à partir de 1935, recueillit de nombreux spécimens dans sa ferme de Tornö, au sud du pays, elle aurait même très certainement disparu. En effet, son initiative permit au baron Carl Leuhusen, basé dans le même village, d’entamer un programme d’élevage qui permit la survie de la race, et même sa résurgence à partir des années 60.

 

Bien qu’il fût reconnu par la Fédération Cynologique Internationale (FCI) dès 1955, le Chien Suédois de Laponie n’a jamais réussi à s’imposer en dehors de son pays d’origine. De fait, malgré sa reconnaissance aux États-Unis par l’United Kennel Club (UKC) en 2006 puis son acceptation provisoire par l’American Kennel Club (AKC) en 2007 (en attendant une reconnaissance pleine et entière), l’avenir de ce chien est incertain. D’ailleurs, il n’est toujours pas admis par certaines institutions d’envergure, à l’image par exemple du Club Canin Canadien (CCC) ou du Kennel Club (KC) britannique.

 

Une étude datant de 2012 recense 1400 représentants dans le monde, la vaste majorité d’entre eux en Scandinavie. Par exemple, les États-Unis comptaient à l’époque seulement 10 spécimens. Si son avenir ne semble pas radieux, c’est parce même dans son pays d’origine, les naissances sont en chute libre. En effet, elles sont passées de plus de 200 par an au début des années 90 à moins de 100 au cours de la deuxième décennie du 21ème siècle. La tendance au recul est similaire en Norvège, où l’on compte moins de 50 naissances par an. Quant à la Finlande et au Danemark, il s'en produit moins de 10 chaque année.

 

Avec en moyenne une dizaine d’inscriptions par an au Livre des Origines Français (LOF) depuis le début des années 2000, la France fait partie des rares pays où ce chien est présent, même si c’est en nombre très limité.

Le Lapphund Suédois est très attaché à sa famille, avec laquelle il aime passer le plus de temps possible. S’il est capable de rester quelques heures seul pendant la journée, il ne supporterait pas d’être abandonné pendant tout un weekend, et souffrirait alors d’anxiété de séparation.

 

Comme il s’entend très bien avec les autres chiens ainsi qu’avec la majorité des chats (a fortiori s’il en a côtoyé dès son plus jeune âge), avoir un second compagnon poilu à la maison peut être un bon moyen de l’aider à se sentir moins seul lorsque sa famille est absente. En revanche, un petit rongeur ou un oiseau ne survivrait pas longtemps sous le même toit qu’un Chien Suédois de Laponie, qui aurait tôt fait de le considérer comme une proie.

 

La présence d’un enfant dans le foyer est également une excellente façon de le distraire, car il fait partie des races de chien qui aiment le plus les enfants. Il fait pour eux un compagnon de jeu idéal et infatigable… et vice-versa. C’est tout particulièrement vrai s’ils ont déjà un certain âge et ont appris comment se comporter respectueusement avec un chien. Par contre, ses instincts de conducteur de troupeau peuvent resurgir avec les plus petits, qu’il peut avoir tendance à mordiller aux talons pour les « guider ». En tout état de cause, comme pour toutes les races, un jeune enfant ne doit jamais être laissé avec un chien sans la présence d’un adulte.

 

Débordant d’énergie, le Lapphund Suédois doit avoir la possibilité de se dépenser pendant au moins une heure chaque jour, à grands renforts de promenades et de séances de jeu. Si l’opportunité lui en est offerte, il est ravi d’aller bien au-delà, par exemple pour accompagner son maître lors d’une longue randonnée à pied ou à vélo. En revanche, mieux vaut le tenir systématiquement en laisse lors des sorties, pour éviter qu’il ne se lance à la poursuite de tous les écureuils qu’il croise. Si on souhaite malgré tout lui offrir l’opportunité d’évoluer librement, un collier GPS connecté peut représenter un investissement très pertinent pour savoir à tout moment où il est et éviter nombre de situations angoissantes.

 

S’il est sorti suffisamment, il peut vivre en appartement, surtout si sa famille a réussi à lui apprendre à ne pas aboyer à tout bout de champ. En effet, il aime aussi se détendre aux côtés de son maître après une longue promenade, et peut tout à fait rester tranquille pendant plusieurs heures. L’environnement idéal pour lui reste toutefois une maison avec un accès libre à un jardin bien clos, afin qu’il ne soit pas tenté de vadrouiller et courser les chats du voisinage.

 

Il n’y a pas que physiquement que le Chien suédois de Laponie aime être stimulé, lui qui apprécie tant de se rendre utile. Ainsi, il est friand des activités faisant appel tant à son intelligence qu’à ses capacités physiques. C’est donc un excellent candidat pour différents sports canins, à commencer par l’agility, le flyball et le frisbee (disc dog).

 

En tout état de cause, s’il n’a pas la possibilité de se dépenser suffisamment, s’ennuie ou ne reçoit pas suffisamment d’attention, il le fait savoir rapidement. En effet, son comportement devient alors vite destructeur : il mâchouille tout ce qui lui tombe entre les pattes, creuse tant dans les plantes que dans le canapé du salon, et avertit tout le quartier de sa détresse.

 

En effet, ce chien aboie souvent, et sa voix haut perchée est particulièrement audible. Si cette caractéristique était un avantage à l’heure de signaler les éventuelles menaces et de guider les troupeaux, qui reconnaissaient son aboiement, elle peut désormais être source de conflit avec les voisins.

Compte tenu de son tempérament réservé vis-à-vis de ce lui est inconnu et de sa propension à aboyer, la socialisation du Chien Suédois de Laponie dès ses premières semaines est primordiale pour qu’il devienne un compagnon équilibré et agréable à vivre. Il faut lui permettre de rencontrer les personnes qu’il peut être amené à rencontrer au cours de sa vie, et ne pas hésiter à le confronter à de nombreuses situations inhabituelles – c’est d’ailleurs aussi un excellent moyen d’éviter que par la suite il aboie de manière incessante, dès que quelque chose l’intrigue.

 

En effet, l’un des plus gros défis de la cohabitation avec ce chien est de lui apprendre à contrôler sa tendance naturelle à aboyer, et ce point doit être abordé le plus tôt possible. L’objectif est non seulement de lui apprendre à se taire dès qu’on lui en fait la demande, mais aussi de lui enseigner à faire la distinction entre les situations qui valent la peine d’être signalées (la venue d’un étranger à la porte, par exemple) et celles qu’il peut ignorer (comme le passage d’une voiture).

 

En dehors de cette problématique qui demande patience, régularité et une certaine expérience, l’éducation du Lapphund Suédois est relativement aisée. C’est une race de chien intelligente, et il fait de son mieux pour satisfaire son maître : même un novice n’a normalement pas grand mal à lui inculquer les commandes de bases, ainsi que quelques tours.

 

Il répond très bien aux caresses, friandises et autres récompenses, si bien que la méthode du renforcement positif est parfaitement adaptée. Par contre, pour qu’il reste motivé, mieux vaut lui proposer des sessions courtes mais fréquentes, et essayer de les rendre le plus ludique possible.

Le Lapphund Suédois est particulièrement robuste et n’est que peu prédisposé à des problèmes de santé.

 

Originaire du nord de la Scandinavie, il ne craint pas les conditions climatiques difficiles et traverse l’hiver sans sourciller. En revanche, il aime beaucoup moins la chaleur et doit pouvoir s’abriter lorsque le thermomètre grimpe. En cas de canicule, il a obligatoirement besoin d’un endroit climatisé. En tout état de cause, ce n’est pas une race adaptée aux régions méditerranéennes.

 

Les rares maladies auxquelles il peut être sujet sont :

  • la dysplasie de la hanche, un problème d’articulation souvent héréditaire, qui peut causer des difficultés pour se déplacer ;
  • l’atrophie progressive de la rétine, une maladie affectant l’œil et causant la cécité du chien. Comme un test permet de la détecter, les éleveurs responsables excluent les individus porteurs de la reproduction, si bien que cette maladie est aujourd’hui rare ;
  • le diabète, un problème de régulation de l’insuline entraînant des anomalies de taux de glucose dans le sang. Elle est rare, et peut être traité à l’aide d’injections d’insuline.

 

En adoptant son chien auprès d’un éleveur de Lapphund Suédois responsable, on diminue grandement les risques de problèmes. Celui-ci doit pouvoir présenter un certificat de bonne santé établi par un vétérinaire, ainsi que les résultats des éventuels tests génétiques effectués sur les parents pour écarter les maladies héréditaires. Il doit également fournir le carnet de vaccination ou carnet de santé du chien, qui permet de s’assurer qu’il a bien reçu tous les vaccins nécessaires.

 

Par ailleurs, comme pour tout chien, un risque d’obésité existe s’il n’a pas la possibilité de se dépenser autant qu’il le devrait. Sa famille doit s’assurer qu’il maintient un poids normal, en le pesant au moins une fois par mois. En cas d'écart qui se confirme voire s'aggrave lors de plusieurs mesures d'affilée, il convient de se tourner vers un vétérinaire. Ce dernier pourra identifier l'origine du problème (aliments inadaptés ou donnés en trop grande quantité, maladie, effet secondaire d'un traitement...) et comment y remédier.

 

Au demeurant, même s'il semble en parfaite santé, il ne faut pas oublier d’emmener son chien chez un vétérinaire au moins une fois par an pour un contrôle de routine. Au-delà de s’assurer qu’il est à jour de ses vaccins, cela peut permettre de déceler au plus tôt un éventuel problème, avant qu'il ne devienne trop grave.

L’entretien du Lapphund Suédois n’est pas compliqué, mais doit être fait de manière régulière pour éviter tout désagrément.

 

En premier lieu, sa belle fourrure doit être brossée toutes les semaines pour la débarrasser des poils morts et éviter les nœuds. Au printemps et à l’automne, il mue abondamment : le brossage doit alors être quotidien, afin d’éliminer l’excès de poils.

 

Sachant que brosser le pelage de son chien permet aussi d’en retirer les éventuelles saletés, il reste normalement propre, si bien qu’il n’est généralement pas nécessaire de lui faire prendre des bains – à moins bien sûr qu’il ne se soit particulièrement sali.

 

Il n’est pas non nécessaire de le tondre, ni même de raccourcir sa belle fourrure. C’est même à proscrire, car cela abîmerait son poil, qui perdrait son imperméabilité.

 

En revanche, la vérification et le nettoyage de ses yeux et ses oreilles s’imposent chaque semaine, là aussi pour éviter tout problème à ce niveau.

 

La séance d’entretien hebdomadaire est aussi l’occasion de lui brosser les dents, de façon à lutter contre la formation de plaque dentaire. En effet, cette dernière peut être à l’origine d’une mauvaise haleine et/ou de maladies, par exemple au niveau des gencives.

 

Enfin, compte tenu de son niveau d’activité, l’usure naturelle suffit généralement à limer ses griffes. Si ce n’est pas le cas, il convient de le faire manuellement à l’aide d’un coupe-ongles spécifique.

 

Tout maître doit être familier avec les différentes manipulations nécessaires pour entretenir le pelage, les yeux, les oreilles, les dents et les ongles de son chien. La première fois, il ne faut pas hésiter à demander à un vétérinaire ou un toiletteur, afin d’apprendre comment le faire convenablement. Par ailleurs, il est judicieux d'y habituer son animal dès son plus jeune âge, afin que tout se passe au mieux par la suite.

La Lapphund Suédois n’est pas problématique en termes de nourriture et s’accommode parfaitement des aliments industriels pour chien disponibles dans le commerce, qu’il s’agisse de croquettes ou de pâtée. Il doit cependant être nourri avec des produits de qualité, adaptés à sa taille, son âge et son niveau d’activité, afin de recevoir tous les nutriments dont il a besoin.

 

Bien que n’étant pas particulièrement sujette à l’obésité, la race n’en est pas à l’abri, pas plus d’ailleurs que n’importe quelle autre. Il est de la responsabilité du maître de s’assurer que son chien ne mange pas trop et se dépense suffisamment, afin d’éviter qu’il ne prenne du poids de manière excessive. Il est donc utile de le peser régulièrement, par exemple une fois par mois : en cas d'augmentation non justifiée qui se confirme voire s'amplifie lors des mesures suivantes, il ne faut pas tarder à l'emmener chez le vétérinaire. Ce dernier pourra déterminer à la fois l'origine du problème (mauvais choix d'aliments, quantité inadaptée, effet indésirable d'un médicament, maladie...) et comment y remédier.

 

Enfin, comme tous ses congénères, le Chien Suédois de Laponie doit pouvoir boire autant qu’il le souhaite à tout moment de la journée. Ceci est particulièrement important lorsque les températures sont élevées.

Le Lapphund Suédois a été utilisé pendant des siècles comme chien de chasse puis chien de conduite de troupeau, mais ce sont aujourd’hui des missions qu’il ne remplit plus que très rarement.

 

En effet, c’est surtout en tant que chien de compagnie qu’on le retrouve de nos jours. Son dévouement et son niveau d’activité élevé en font un partenaire idéal pour un maître sportif vivant dans une région au climat plutôt froid, qui désire un compagnon qu’il puisse emmener pendant ses activités (course à pied, sorties à vélo, randonnées…).

 

Même s’il n’est pas du genre agressif, sa méfiance naturelle envers les étrangers et son aboiement perçant lui permettent aussi d’assurer efficacement le rôle de chien d’alerte. Personne ne peut passer à proximité de son territoire sans se faire remarquer et déclencher « l’alarme » qui réveille tous les voisins.

 

Enfin, ses qualités athlétiques en font un excellent candidat dans les sports canins comme l’agility, l’obéissance ou le frisbee (disc dog).

Dans son pays d’origine, le prix d’un chiot Lapphund Suédois est d’environ 15 000 couronnes suédoises (soit autour de 1400 euros, ou 2100 dollars canadiens).

 

Ce chien étant rare et très difficile à trouver en dehors de la Suède, l’importation est généralement l’option la plus réaliste pour quiconque souhaite adopter un Lapphund Suédois. Le cas échéant, il faut veiller à bien respecter la réglementation relative à l’importation d’un chien depuis l’étranger. Par ailleurs, des coûts de transport ainsi que les frais administratifs s’ajoutent alors au prix d’achat du chiot.

 

Concernant ce dernier, il peut varier en fonction de l’éleveur, de la lignée plus ou moins prestigieuse dont l'animal est issu, mais aussi et surtout de ses caractéristiques intrinsèques - à commencer par sa proximité avec le standard de la race.

  • Le Lapphund Suédois est le chien national de son pays d’origine.

 

  • Le Chien Suédois de Laponie ne doit pas être confondu avec le Chien Finnois de Laponie, souvent appelé Lapphund Finlandais et bien plus répandu. Si les deux ont une apparence similaire et des origines communes, l’ensemble des organismes les considèrent bien comme deux races distinctes. Les principales différences physiques entre les deux races sont la taille (le Lapphund Suédois est légèrement plus petit que son voisin) et la robe (qui peut être de différentes couleurs chez le Chien Finnois de Laponie, alors que seul le noir et le marron foncé sont autorisés chez le Lapphund Suédois).

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Avis & conseils

oui j'adore cette race, une de mes races préférées!!!
avec le labrador, le huski etc... merci beaucoup pour toutes ces infos
et surtout merci pour m'avoir indiqué la durée de vie qui est très importante a mes yeux!!!

   
Par lolo
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