04/05/2007, 17h12
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ATTENTION : ce documentaire est a deconseillé aux enfants de moins de 16 ans. Ames sensibles s'abstenir.
Ce film documentaire americain (1h30) traite de la place de l'homme dans la nature et son action négative sur le monde animal. Aussi puissant que 'Une vérité qui dérange' de Al Gore. Il faut le voir absolument ! Il a eu un enorme succes aux USA et remporté de nombreux prix et nominé aux Oscars. Le narateur est le célèbre acteur Joaquin Phoenix (Gladiator) et la musique est de Moby. Il y est question notamment de l'industrie et sa responsabilite dans la cruauté envers les animaux (attention : certains passages sont tres durs) Plus d'infos sur le film : http://www.isawearthlings.com/trailer.html Synopsis : en utilisant des cameras cachees et des images jamais montrees, EARTLINGS est une chronique des pratiques des plus grandes industries actuelles, dont les profits dépendent pour toutes - d'une maniere ou une autre - de l'exploitation animale. Je confirme certain passages ne sont pas regardables, ils s'agit tout de même d'un film extraordinaire de vérité. Le film : http://video.google.fr/videoplay?docid=4093730216074063220
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http://educationcanine.forumactif.com/ |
04/05/2007, 19h53
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une heure et demi c'est trop long pour moi... j'en ai trop vu ! et je sais pourquoi je ne mange quasi plus de viande depuis quelques mois, je vous le garantis !!! mais c'est un film très bien fait, et criant de vérité... à voir donc, pour ceux qui ne savent pas ce qu'il se passe dans le monde pour les milliers d'animaux que l'on exploite pour la viande, la laine, notre plaisir personnel... etc !
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04/05/2007, 20h15
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moi non plus je n'ai pas tout regarder, il n'y a pas de mot pour définir cette barbarie
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![]() ![]() ![]() ![]() je n'ai pas pu tout voir car c'est trop dur, je sais que cela ne sert à rien de faire l'autruche mais je suis quand même consciente de toutes ces atrocités!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Au secours, il faut que tout cela s'arrête! |
04/05/2007, 20h23
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Citation:
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07/05/2007, 14h28
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Elevage industriel,
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usine à souffrance LE MONDE | 05.05.07 | 12h13 au fil de vos recherches sur le statut de l'animal d'élevage et sur son "bien-être", enregistrez-vous une évolution ? Je constate une détérioration dans la condition des animaux et une évolution dans les débats. Il y a dix ans, le sujet prêtait à l'ironie. Depuis que l'on a montré des images de la réalité de l'élevage industriel, le problème a été jugé sérieux. Cette réflexion a contribué à mettre en cause la tradition de l'humanisme juridique, qui considère que seuls les êtres de raison ont des droits et qu'il n'y a pas de droits sans devoirs. Dans ces conditions, ceux qui ne veulent pas ou ne peuvent pas "passer contrat" - c'est le cas des animaux - sont exclus de la sphère morale et juridique. Mais, dans ce cas, et c'est une objection qui a très tôt été soulevée, qu'en est-il de l'idiot, du fou ou de l'enfant ? Ne risquent-ils pas tout autant d'être mis de côté ? Une autre tradition, marquée entre autres par la pensée de Rousseau, s'interroge sur le critère pertinent d'un point de vue moral : à quelle condition un être doit-il être traité comme une fin et jamais simplement comme un moyen ? Est-ce parce qu'il est rationnel, ou est-ce parce qu'il est sensible ? Rousseau voit dans le sentiment de compassion une épreuve de réalité. Ce qui nous appelle au fond de nous, c'est la souffrance d'autrui, fût-il, comme l'écrit Claude Lévi-Strauss commentant Rousseau, "le plus autrui de tous les autrui", c'est-à-dire un animal. Articles parut dans le journal Le Monde : un entretien avec la philosophe Florence Burgat sur l'élevage industriel, "usine à souffrance". |