galgos, chiens martyrs...

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24/08/2006, 14h15
Lettre à l’Ambassadeur d’Espagne

Monsieur l'Ambassadeur,

C'est avec émotion et colère que j'ai récemment pris connaissance des maltraitances subies par les lévriers galgos dans votre pays.

Après avoir vaillamment servi leurs maitres, ces chiens sont souvent martyrisés puis sacrifiés par d'ignobles individus absolument indifférents aux souffrances inouïes qu'ils infligent.

Ces coutumes barbares sont désormais indignes d'un pays comme l'Espagne, membre de la Communauté Européenne. Et pourtant, elles continuent d'être tolérées par les autorités de votre pays.

Je suis certain(e) que, portées à la connaissance du public, elles seraient d'ailleurs susceptibles de faire fuir un grand nombre des touristes qui visitent chaque année votre beau pays.

Aussi, je vous remercie de bien vouloir intervenir auprès de votre gouvernement afin que cessent ces pratiques d'une cruauté intolérable.

Je joins à mon courrier un texte écrit par Monsieur Raymond AUDEMARD, trésorier de l'association Lévriers en Détresse, intitulé Le Pianiste que je vous recommande vivement de lire (jusqu'au bout si vous en avez la force) car il relate à la perfection le calvaire enduré par ces pauvres lévriers, texte que j'accompagne de quelques photos édifiantes.

Je vous prie d'agréer, Monsieur l'Ambassadeur, l'assurance de ma haute considération.

Le Pianiste

C'était un bout de terrain presque plat, une saignée dans la forêt, les hommes étaient là, en groupe. Ils fumaient des cigarettes mal odorantes qu'ils roulaient tout en plaisantant. Nous, les galgos, on était au pied. Les oreilles agitées, attirées par les mille bruits de la forêt.
Un peu excités aussi, par l'odeur du lapin qui était là, à quelques pas, dans la cage grillagée. On sentait sa peur. Elle nous attirait, comme un aimant.
Les hommes se sont mis en rang, chacun avec un galgo serré entre leurs cuisses, les colliers de corde ou de fil de fer étaient solidement tenus.
Le mien entrait douloureusement dans la peau de mon cou. Puis, ils ont ouvert la cage. Affolé, il a surgi à la vitesse de l'éclair. Au signal, les galgueros ont lâché les colliers. J'ai ressenti une vive douleur à la queue. Pour me faire " démarrer " plus vite, mon maître l'a entaillée avec son couteau. Comme mes frères de course, je porte des dizaines de stigmates de ces coupures. Cela ne me fait pas courir plus vite, mais mon maître ne semble pas s'en rendre compte.
Alors, j'ai couru. Couru de toutes mes forces, couru de tout mon être. Je voulais l'attraper cette petite boule de fourrure beige qui s'agitait frénétiquement devant nous, changeant sans cesse de trajectoire pour nous tromper. Le sang battait à mes tempes et je sentais l'air s'engouffrer dans ma large poitrine après les premières secondes où j'avais retenu mon souffle. Mais je suis un coursier. Un chasseur et un coursier, et je ne le quittais pas du regard. Je percevais son affolement. Les hommes criaient, tapaient dans les mains, criant les noms des chiens qui couraient pour eux. J'étais presque sur lui, je recevais de minces giclées de poussière soulevées par ses pattes.
Et puis, il y a eu cette motte de terre qui a cédé sous ma patte, j'ai perdu l'équilibre un instant, mais je ne suis pas tombé. Blas, un grand galgo noir en a profité, il m'a devancé et a attrapé le lapin. Il l'a secoué dans sa gueule, en sautant en l'air de plaisir. Je me suis approché, mais il a grogné. Il était le vainqueur. Les hommes sont arrivés en courant, ils ont retiré son trophée à Blas. Il a aboyé. Il a reçu un coup de fouet.
Mon maître était furieux, je l'ai vu donner des morceaux de papiers au maître de Blas. Il m'a attrapé par le collier, méchamment et a serré. J'ai gémi. Il m'a donné des coups de poings et des coups de pied. Ce n'était pas ma faute, je ne l'avais pas vu cette motte de terre, et puis, le plus important c'était bien que le lapin qui s'était échappé ait été rattrapé. Même par Blas !
En revenant vers les voitures, j'ai aperçu Libra. Elle se traînait sur trois pattes. Elle était tombée. L'os sortait de sa patte arrière droite, juste au-dessus de la cheville. Son propriétaire, un gros chasseur du coin l'a insultée, puis il l'a rouée de coups de pieds. Chaque fois que les coups atteignaient sa patte brisée elle hurlait. Il riait et il tapait encore plus fort. Puis il a donnée un coup de talon sur son dos. Elle n'a plus bougé. Plus gémi. Mais j'ai vu ses yeux. Elle était encore vivante.
Ils l'ont laissée là.
Il y avait de la bière, les hommes ont bu en plaisantant. Le soleil commençait à chauffer. Mon maître m'a attaché au bout d'une corde et il m'a entraîné vers la voiture. Je suis monté à l'arrière, aidé d'un bon coup de pied dans les reins. Tout en conduisant, très vite malgré l'état de la route, il n'a pas arrêté de hurler après moi. De m'insulter. De temps en temps il se retournait et me frappait avec un bâton qu'il a toujours avec lui. Arrivé à la ferme, il m'a attaché. Très court. Je ne pouvais pas atteindre la vieille bassine pleine d'eau sale dans laquelle je bois habituellement. Il est rentré. Je l'ai entendu hurler encore.
Puis il est sorti, avec un fouet et il a commencé à me frapper. Je ne pouvais pas m'enfuir, tout au plus me rouler en boule. Le fil de fer m'étranglait et je suffoquais tandis que les coups pleuvaient sur mon dos, sur mes flancs.
Pourquoi ?
Au bout d'un moment il s'est calmé. Il est rentré. Le soleil cuisait mes plaies, les mouches se posaient sur moi, mais je n'avais même plus la force de les chasser.

Nina, une petite galga est venue lécher mes plaies. Je n'ai pas réagi. Cela apaisait un peu la brûlure. Mais elle ne pouvait rien faire pour ma gorge serrée et desséchée par la soif. Nina est là depuis longtemps, elle fait souvent des petits. Ils partent très vite. Elle est vieille maintenant, elle est très maigre. Elle est là depuis au moins cinq saisons de chasse.
La journée a été longue. Le maître est parti à la chasse, avec Nina. Au soir il est revenu. Seul. Je ne disais rien, je ne faisais aucun mouvement, comme si j'avais voulu me confondre avec le sol. Mais il est revenu vers moi. Il m'a craché dessus et donné un coup de sa botte ferrée.
Toute la nuit, j'ai grelotté, de froid, de fièvre, de douleur. Les tiraillements de ma peau déchirée rendaient chaque mouvement douloureux. Même respirer devenait un calvaire.

Au matin, il est venu vers moi, il avait une longue corde. Il m'a détachée, a passé la corde dans le fil de fer qui me sert de collier et il m'a traîné. Je pouvais à peine me tenir debout. Il m'a attrapé par le cou et par une patte et m'a jeté dans la voiture. J'ai hurlé. Il a ri. J'avais mal. Mais son rire m'a rassuré. En général, quand il rit, il ne frappe pas trop longtemps. Ou moins fort.
Il a pris un chemin de montagne, un de ceux que nous prenons quand il m'emmène chasser. Mais jamais je n'aurai la force de chasser. Je ne peux même pas me remettre debout dans la voiture. J'ai glissé entre les sièges, sur le plancher et je ressens tous les cahots de la route empierrée.
Il fait beau. Au loin j'entends des oiseaux chanter. Une abeille est venue se poser sur ma truffe. Je ne pouvais même pas la chasser. Elle s'est envolée. Il doit y avoir pleins de lapins par ici. Je sens l'odeur de leurs crottes. Il arrête la voiture. Il sort et fume une cigarette. Par la fenêtre j'aperçois la fumée bleutée qui s'élève, mais je ne le vois pas, ma tête posée sur le plancher de la voiture. J'entends sa botte qui racle le sol. Il écrase sa cigarette. Il fait toujours cela. Il ouvre sa porte et se saisit de la corde et il tire d'un coup sec. La douleur est fulgurante. Mon souffle est coupé. Il empoigne sans ménagement la peau de mon dos, comme le faisait ma mère lorsque j'étais chiot. Mais il me fait mal. Je ne suis plus un chiot. Il me jette part terre et il me traîne en me tenant par les pattes. Ma langue sort de ma bouche, je n'ai plus de salive et la douleur de ma gorge est comme un fer rouge. Il s'arrête enfin. Je sens alors les cailloux coupants du chemin qui ont ravivé mes plaies. Il me regarde. Me donne un coup de pied dans la mâchoire.
Pourquoi fait-il cela ?
Puis il saisit le bout libre de la corde et il le lance dans un arbre, en travers d'une branche. Je ne comprends pas ce qu'il veut faire. Puis il se met à tirer. J'essaie de bouger, de me mettre sur mes pattes, mais je suis trop faible et je retombe, sans force. Il tire toujours, je sens ma tête qui s'élève, la pression sur ma gorge est horrible. J'essaie d'aboyer mais je ne peux pas. Il tire encore, mes pattes de devant quittent le sol, je sens mes vertèbres tendues à se rompre. Ma tête est rejetée en arrière.
Et j'aperçois Nina. Elle est là. A quelques mètres. Son corps noir et blanc tournoie à un mètre du sol. Sa langue sort entre ses lèvres et des babines retroussées lui font un rictus menaçant, elle qui n'a jamais résisté.
Mes pattes arrière touchent le sol. La souffrance est de plus en plus horrible. Mes antérieurs griffent désespérément l'air, je me débats, en vain. Mes cuisses sont tendues.Je veux vivre !
Je sens la tétanie qui les gagne, mes muscles tremblent. Le maître a allumé une cigarette. Il regarde. Il parle. Il me demande quel air je suis en train de lui jouer sur mon piano.
Je ne comprends pas. L'air passe de plus en plus difficilement dans ma gorge. Une de mes pattes arrière vient de céder. La pression se fait encore plus forte sur mon cou. Je sens l'odeur des arbres, de la sève. Mais aussi l'odeur de l'homme, sueur, alcool, tabac et essence. Une odeur que j'ai appris à craindre. Il rit. Ma vision s'obscurcit. L'air ne passe plus. Je ne sais pas depuis combien de temps je suis là. Les oiseaux qui s'étaient tus se sont remis à chanter. Le soleil est haut dans le ciel. Je sens sa chaleur. Mais je ne le vois plus. Je n'en peux plus. Trop mal.
La délivrance.

Raymond AUDEMARD © LED 2006

Pour bien comprendre le titre de ce texte, il faut savoir que lorsqu'un galguero pend son chien, s'il a bien chassé ou bien couru, il s'arrange pour que sa mort soit rapide.
Si, au contraire, le chien a mal chassé ou l'a déshonoré en perdant une course, il doit souffrir le plus longtemps possible. Le chien, pendu avec les postérieurs touchant le sol, pourra mettre des heures à agoniser. Ses antérieurs qui s'agitent évoquent, pour les galgueros, les mouvements d'un pianiste sur son clavier. Ils utilisent aussi le terme de " Dactylo ".
Ces gens ont décidément beaucoup d'humour…

télécharger ce texte et ce courrier en cliquant ici :

http://www.galgoschiensmartyrs.org/download/Courrier_am_bes.doc

et adressez-le à: Monsieur l’Ambassadeur d’Espagne, 22, avenue Marceau, 75008 PARIS, par lettre, mail à [email protected], ou télécopie au 01 47 23 59 55, après avoir indiqué vos nom et adresse ainsi que la date et apposé votre signature.

Faîtes quelques chose pour eux, on ne peut pas laisser continuer ces horreurs...
allez voir ce site, c'est là que j'ai trouvé cette lettre :

http://www.galgoschiensmartyrs.org/
Répondre
24/08/2006, 15h07
Mon dieu, c'est une horreur!!!!
Comment imaginer que des êtres humains sont encore capables de faire ça ???!!! J'ai la gorge serrée de lire ce texte et les photos sur le site sont insoutenables. Je vais de ce pas télécharger ce courrier et envoyer l'adresse au maximum de gens que je connais.

Un énorme calin à tout ces toutous qui sont maintenant en paix au ciel Smiley
Répondre
24/08/2006, 15h10
et surtout demande leur bien d'envoyer la lettre muni du texte et des photos à l'ambassade d'espagne...
je l'ai fait par mail car par courrier la lettre m'est revenue, donc c'est plus sûr...
Répondre
24/08/2006, 22h25
Smiley Qu'elle horreur. C'est pas possible. Je n'étais pas au courant de ces pratiques maintenant je suis dépitée. Je vois réellement l'Espagne autrement.
Je suis allée sur le site et j'ai envoyé la lettre, le texte et les photos à ce cher ambassadeur d'Espagne qui, je l'espère, agir comme il se doit.
Même si vous n'avez pas le temps de tout lire, envoyez cette lettre, ça ne prend que 5 minutes.
C'est lamentable!! Smiley
Répondre
11/09/2006, 16h04
J'ai mis une pétition pour les lévriers plus hauts dans la page !!!
__________________
http://img443.imageshack.us/img443/79/irisrj6.jpg
SmileyMa grosse Tomme je t'aimais Smiley
Répondre
17/09/2006, 15h35
je remonte le sujet, comme vous aimez les chiens, je suppose que tout le monde trouve que c'est atroce ce qui se passe en espagne, pays européen, ou la violence est tellement présente pour les lévriers...
Je n'imaginais pas non plus voir autant de cruauté au pas de notre porte... et pourtant
aidez-les galgos, ils n'attendent que votre soutien...

http://www.passionlevriers.com/

et si vous avez envis d'adoption, pensez aussi à eux, ils ont droit au bonheur... pensez aussi à l'option parrainage et famille d'accueuil !
merci d'avance pour eux Smiley
Répondre
12/10/2006, 09h22
histoire d'en rajouter, jamais vu autant de violance... c'est horrible Smiley

Aidez les animaux maltraités en Espagne
Des images qui en disent long

il y a des photos, vous n'êtes pas obligé d'aller voir la vidéo, c'est trop affreux, on voit un homme battre un chien à coup de bâton !!!
c'est dégueulasse !

http://www.protection-des-animaux.org/ipb/index.php?showtopic=11628&hl=
Répondre
12/10/2006, 12h41
une série d'image pour montrer à quel point ils peuvent être cruels :

http://www.20minutos.es/galeria/806/0/1/
Répondre
26/10/2006, 13h12
je remonte le sujet... pensez à eux !!! Smiley

Pour ceux qui n'ont pas vu le reportage, dans le jt de tf1 d'hier soir :

http://tf1.lci.fr/infos/jt/0,,3346598,00-maltraitance-levriers-chasse-espagne-.html

faites un copier/coller sur votre barre d'adresse ! ça marchera !
Répondre
26/10/2006, 13h40
Citation:
mag a écrit :
je remonte le sujet... pensez à eux !!! Smiley

Pour ceux qui n'ont pas vu le reportage, dans le jt de tf1 d'hier soir :

http://tf1.lci.fr/infos/jt/0,,3346598,00-maltraitance-levriers-chasse-espagne-.html

faites un copier/coller sur votre barre d'adresse ! ça marchera !
ou allez là : http://www.protection-des-animaux.org/ipb/index.php?showtopic=11863&hl=
Répondre
26/10/2006, 13h45
Je transmets:


Merci de relayer les actions de ceux qui se battent chaque jours pour les Lévriers.

Les galgos sont des chiens levriers appelés galgos en espagne.

Ces chiens sont utilisés pour la chasse ou pour des paris ou de fortes sommes sont mises en jeu. Au bout de 2 ans un galgo n'est plus considéré comme rentable alors le propriétaire s'en débarasse !
Ces chiens sont brulés vifs, pendus aux arbres, jetés dans les puits, trainé derriére des voitures à toute vitesse, ou bien battu jusqu'à ce que mort s'en suive....

voici le site :
http://levriersyvelines.site.voila.fr/

pétition en ligne :
http://www.thepetitionsite.com/takeaction/485467652


L'Europe des Lévriers

ANNONCE SANS LIMITATION DE DURÉE

Association l'Europe des Lévriers recherche familles sérieuses pour accueillir ses protégés.

Les Lévriers placés sont stérilisés, vaccinés, identifiés et testés pour les maladies du sud. Venez visiter notre site, pour comprendre la situation, nos actions et qui sait, peut-être croiser le regard de votre futur compagnon.

Placements sur toute la France.

Faites-vous une fleur : ADOPTEZ UN LÉVRIER MARTYR D'ESPAGNE.

http://levriersyvelines.site.voila.fr/


Pour mieux comprendre le problème :

LA SITUATION EN ESPAGNE :


Le Galgo est très souvent utilisé pour la chasse et court dans des épreuves non-officielles sur lesquelles des paris sont engagés. Battu, mutilé, affamé depuis son plus jeune âge, des Galgueros il ne connaît que coups, insultes et maltraitance… Lorsque que vers 2 ans, il n’est plus considéré comme «exploitable», certains chasseurs s’en débarrasse selon la tradition : Le galgo qui a été vaillant derrière le gibier aura une mort rapide en "reconnaissance" des services qu’il a rendus. Le galgo qui ne vaut rien à la chasse aura une mort lente. Il sera pendu ou il mourra de faim...
A aucun moment, le Galguero n’envisagera de lui assurer une retraite heureuse jusqu’à la fin de sa vie.
À la campagne, le Galgo n’a pas plus de valeur qu’un kleenex. Là-bas promener un Lévrier en laisse fait rire, voir ricaner ! Considérer un Lévrier comme animal de compagnie est une aberration.
Sous l’influence des médias qui commencent à donner des informations sur ces méthodes dignes du Moyen-Âge, les chasseurs Espagnols se résignent aujourd’hui à les abandonner, le plus souvent dans la campagne environnante, quelquefois dans un «refuge», les perreras ou protectoras, ces antichambres de la mort.
Même après son abandon, le calvaire du Galgo va continuer.
Dans les refuges espagnols, il n’a aucune chance d’être adopté, relégué dans les parties non visibles au public :

LE GALGO N’ EST PAS PROPOSÉ À L’ADOPTION

Évidemment, il finira par mourir… de faim, de soif, de froid l’hiver et surtout sous les crocs des chiens dominants devenus des tueurs dans ces lieux de perdition. Même dans les «refuges» Espagnols le Galgo ne vaut pas non plus le médicament qui soignerait ses blessures. Son regard s’éteindra dans l’indifférence générale.

NOUS AVONS BESOIN DE VOUS !!!

Amicalement,

Barbara -
Répondre
26/10/2006, 13h50
Voici encore ce que font les ***** de l'autre côté des pyrénées
(images choquantes, à ne pas voir si vous êtes sensibles)

http://www.levriers77.org/galgoplight_c_F.html

Ils ont même leurs fournisseurs officiels

http://www.fedegalgos.com/home.asp
Répondre
25/11/2006, 00h14
Si vous avez des courriers types, des adresses,mails, merci d’informer tout le monde pour unir nos efforts. Les supplices sont trop horribles et ça se passe chez notre voisin…l'Espagne. Merci aussi d'aider les associations qui aident les lévriers ainsi que les refuges espagnols qui manquent de moyens...
Message de l’Europe des Lévriers http://levriersyvelines.site.voila.fr/

"Je souhaite attirer votre attention sur la situation des Galgos, chiens lévrier d'Espagne.

En effet, ces lévriers sont utilisés pour la chasse. Par tradition, les moins performants sont mis à mort par des méthodes épouvantables :
ils sont jetés vivants au fond d´un puit afin qu´ils agonisent pendant des jours ;
ils sont pendus de manière à ce que les pattes arrières touchent le sol pour que leur mort soit lente ;
les galgueros (chasseurs avec des lévriers) les étouffent en leur mettant un sac sur la tête,
leur cassent une patte pour qu´ils ne les suivent pas lorsqu´ils les abandonnent ;
ils leur font boire de force de l´eau de javel ou de l´acide ;
d´autres sont brûlés vifs
ou encore roués de coups, ou enfin,
ils sont traînés derrière une voiture jusqu´à ce que le coeur cède, épuisé.
Les chiennes ne sont utilisées que pour la reproduction, sont enfermées, dorment à même le ciment et leurs chiots sont vendus sur les marchés ou entre propriétaires.

Ces mauvais traitements sont traditionnels en Espagne puisqu'ils datent du Moyen-Age…"
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Message d'Anne Finch, présidente et fondatrice de “Greyhounds In Need”, concernant la situation actuelle des Galgos espagnols
“Notre site internet évoque en grande partie le travail des associations en faveur des Galgos et montre souvent les Lévriers adoptés. Cependant, nous devons toujours avoir en tête la réalité et les conditions de vie de centaines, voire de milliers de Galgos en Espagne.
Je vous exhorte tous à dénoncer ces crimes épouvantables, ces actes d’une inouïe cruauté.
Écrivez aux offices de tourisme espagnols, écrivez à l’Ambassade d’Espagne,
alertez les médias locaux et nationaux, journaux, chaînes de télévisions, radios ;
alertez les amateurs de chiens, les clubs cynophiles, la SPA ainsi que les refuges et les associations de protection animale, etc.
S’il vous plaît, faites en sorte de les avertir tous des horreurs qui se déroulent en Espagne.
Anne Finch
OFFICES DE TOURISME REPRESENTANT L’Espagne POUR FAIRE PRESSION POUR AIDER LES GALGOS (envoi groupé) :
[email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected]
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Pétitions et liens pour sauver les galgos (lévriers) en Espagne (il y en a certainement d'autres) :

http://www.ameurogreyhoundalliance.org/formspain1.html
http://firmas.amnistianimalmadrid.org/
http://www.passionlevriers.com/nouvellepage10.htm
http://www.sos-levriers.org/
http://www.thepetitionsite.com/takeaction/485467652?ltl=1162456953
http://www.thepetitionsite.com/takeaction/485467652
http://www.thepetitionsite.com/takeaction/485467652
http://www.galgosinfronteras.org
http://www.sosgalgos.com
http://www.amigosdelosgalgos.org/
http://levriersyvelines.site.voila.fr/ et http://passionlevriers.free.fr/
http://www.levriers77.org/meridiana_end_F.htm
http://www.levriers77.org/accueil_F.htm
http://www.animalhelp.es/carta-martos.htm
http://www.animalhelp.es/kiosko.htm
http://www.amnistianimalmadrid.org/denuncias.htm
http://www.ameurogreyhoundalliance.org/formspain1.html
http://firmas.amnistianimalmadrid.org/
http://www.passionlevriers.com/nouvellepage10.htm
http://www.animalhelp.es/carta-martos.htm
http://www.animalhelp.es/kiosko.htm
http://www.amnistianimalmadrid.org/denuncias.htm
Pétition sur les lévriers de course britanniques (pas seulement en Espagne, hélas !) : http://www.levriers77.org/docs/petition%5b2%5d.pdf
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Message de SOS LEVRIERS :
Le Gouvernement Espagnol prend part active dans ce mauvais traitement des chiens de chasse en faisant entretenir les «perreras» (places pour tuer les chiens), où les chiens abandonnés sont «gardés» jusqu’à leur mise à mort. En général cela dure entre 10 et 14 jours jusqu’à leur mort ! Quand on trouve un lévrier blessé, l’animal n’est nullement soigné, il n’y aura jamais un vétérinaire qui s’en occuperait et rien n’est fait pour soulager les souffrances des chiens, car les employés des «perreras»(pour la plupart mal payés) ne croient pas qu’un chien de chasse pourrait être adopté! Il est très bien possible qu’un lévrier avec une fracture ouverte reste sans soins et doit souffrir les pires douleurs pendant les 14 jours qui précèdent sa mise à mort!
Nous demandons au Gouvernement Espagnol d’appliquer la nouvelle loi de protection des chiens de compagnie aussi aux chiens de chasse (et autres chiens de travail) et si la SEPRONA (la Police Environnementale Espagnole) faisait contrôler les chasseurs (et limitait le nombre de leurs chiens), beaucoup de chasseurs n’auraient plus de chiens, car il serait beaucoup trop cher pour eux de construire des chenils qui seraient conformes aux exigences de la loi.
Le vrai problème pour les chiens c’est que les chasseurs les maltraitent impunément dès leur naissance et cela pendant toute leur vie. Même dans les refuges officiels (les «dog pounds» de la ville), il n’y a souvent pas le moindre respect des droits des animaux pour ces chiens et pourtant ce sont eux aussi des êtres vivants et sensibles aux souffrances!
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VIDEO DE TF1 DENONCANT CES PRATIQUES :
http://tf1.lci.fr/infos/jt/0,,3346598,00-maltraitance-levriers-chasse-espagne-.html

http://levriersyvelines.site.voila.fr/
Barbara LEFRANC -
Vice-Présidente
l'Europe Des Lévriers
Association de Protection Animale loi 1901

http://www.thepetitionsite.com/takeaction/485467652
http://www.passionlevriers.com/
Dépôt des statuts, mise en place des sites Web (http://levriersyvelines.site.voila.fr/ et http://passionlevriers.free.fr/), coordination des actions et lancement des sauvetages, transport des adoptés vers leurs nouvelles familles, gestion de 2événements PLANET GREYHOUND 2004 (à Monts-de-Marsan et au Pecq)… Les semaines qui viennent de s'écouler ont été bien remplies et riches en émotions.
QUELLES SONT LES ACTIONS DE L'ASSOCIATION ?
D'une part, l'association parvient, en collaboration avec son partenaire Espagnol, AMIGOS DE LOS GALGOS (visitez le site http://www.amigosdelosgalgos.org/, association dirigée par Nuria BLANCO et des bénévoles sur place, à sauver et faire adopter des Galgos échoués dans des refuges ou sous l'aile d'une association locale.
D'autre part, le grand combat de l'association est de faire circuler et signer une pétition dénonçant le massacre impuni des Galgos d'Espagne afin que les milliers de signatures qui vont ainsi être récoltées puissent être présentées au Parlement Européen : cette surproduction et cet hécatombe de Lévriers est un PROBLÈME ESPAGNOL, qui doit être réglé en Espagne par les Espagnols !!!
Par le biais de cette pétition nous voulons faire entendre, avec force, les voix des Européens pour qui Europe et cruauté ne peuvent aller de pair et qui EXIGENT une action gouvernementale et législative du contrôle de la production et de l'utilisation des Galgos ainsi que des mesures répressives destinées à décourager définitivement ceux qui maltraitent, torturent et tuent leurs Galgos en toute impunité.
PASSION LÉVRIERS c'est le début de la réalisation d'un rêve : la création d'une admirable chaîne de solidarité autour des Galgos Espagnols. Cette synergie est en train de devenir réelle grâce à l'implication de ces hommes, et de ces femmes qui œuvrent pour la sauvegarde des Galgos d'Espagne et qui, comme eux, sont des êtres exceptionnels.
Barbara LELIÈVRE
Bénévole PASSION LÉVRIERS
Pour rentrer en contact avec l'association :
PASSION LÉVRIERS
Association de Protection animale loi 1901
LD CAPSUS – 40410 MOUSTEY
[email protected]
[email protected]
ANTENNES PASSION LEVRIERS SUR LA FRANCE :

REGION NORD PAS DE CALAIS :
Evelyne GUERIN [email protected]
Françoise BRASSART [email protected]

REGION PARISIENNE - LA SARTHE :
Ludivine LACOUR [email protected]
Patricia BILLEGAS [email protected]

REGION CALVADOS :
Isabelle et Frédéric [email protected]

REGION OUEST :
Cécile et Philippe GODART 02 406 547 97
Yvelyne et J.P. GENDRON [email protected]

REGION AQUITAINE :
Blandine RAMBAUD [email protected]
M.C. CHAPTARD [email protected]

REGION DORDOGNE :
Karen et Michael FINZEL [email protected]

REGION LANDAISE :
Christiane CAPRON
Michèle MAGAT [email protected]

REGION LANDES PAYS BASQUE :
Sylvie et Nicolas GRIMAUD [email protected]


REGION ISERE :
Delphine DESVIGNES [email protected]
REGION LANGUEDOC ROUSSILLON :

Envoyer des mails + courriers de protestation à :
Presidente Sr. Jose Maria Aznar
Presidente del Gobierno
Complejo de la Moncloa
28071-MADRID
Email letters can be sent to the president of Spain, José Maria Aznar at [email protected] and to the Secretario Tecnico del Grupo Popular en el Congreso de Diputados, Teofilo de Luis at [email protected]. Also send a copy to the Government's Group at the Spanish Congress at [email protected]

Voir liste de liens sur :
http://www.levriers77.org/accueil_F.htm

Quelqus sites traitant du sujet :
http://www.spanishdogs.com/
http://www.limerickanimalwelfare.com/law/greyhounds.htm
http://www.ameurogreyhoundalliance.org/spain.html

MERCI DE DIFFUSER A UN MAXIMUM DE PERSONNES
Répondre
25/11/2006, 08h31
C'est horrible et inimaginable! Comment peut-on faire ça, j'en ai encore froid dans le dos! Smiley
__________________
CHIEN ADORABLE Smiley
Répondre
30/11/2006, 23h22
sur un autre forum où j'étais, il y avait un homme qui avait adopté un galgo, ramené d'espagne par une association je crois...et le chien avait tout de suite bien cohabiter, avec son autre chien, et sa chienne akita inu...il y avait une telle douceur chez ce pauvre chien qui avait du en voir des vertes et des pas mures...

je ne connaissais pas cette race, et il nous avait donc expliqué : la triste histoire des galgos d'espagne...

et le sien, qui s'appelle Diego me semble t il, vivait enfin une vie paisible entouré de gens aimants...

pauvre loulous...les photos sont horribles, et j'ai envie de faire la meme chose aux connards qui leur font ca...

Smiley
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Audrey...Maman de Suki, petite Akita Inu
http://i54.servimg.com/u/f54/11/94/81/09/signat11.gif
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01/12/2006, 00h27
moi aussi... j'aimerais leur faire pareil ! mais à part se défouler, ça ne servirait à rien ! par contre, adopter un galgo, ça oui je le ferais...
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05/12/2007, 21h10
le Bulletin Des Lévriers, association de protection animale, Loi 1901.

Attention notre adresse internet a changé :

http://levriersyveline.site.voila.fr

Billets d''humeur, recensement des informations concernant les Lévriers martyrs en Europe et dans le Monde.

Toutes les pétitions à signer en ligne sont regroupées dans la section "AGIR" du Bulletin !

Vous avez la passion des Lévriers ? REJOIGNEZ-NOUS, pour les aider, leur détresse est immense !

Barbara LEFRANC-

le Bulletin Des Lévriers
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Pétition en ligne :
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