LA VIVISECTION : cruelle et inutile

Répondre Lancer une nouvelle discussion
17/09/2006, 01h39
Utiliser des animaux comme modèle pour des expériences est le plus souvent trompeur et parfois dangereux. Les conclusions sont complexes mais la souffrance, le gâchis financier et technique sont bien réels.

1. " Chaque découverte médicale majeure est le fruit de l'expérimentation animale. "

Non. Depuis la création du Prix Nobel de physiologie et de médecine en 1901, deux tiers des prix ont été attribués à des scientifiques utilisant des techniques substitutives à l'expérimentation animale.

La progression de l'espérance de vie est essentiellement due aux changements de mode de vie et aux progrès sanitaires. Et les études cliniques et épidémiologiques (études du développement naturel des maladies au sein des populations humaines) ont eu l'impact le plus important sur la santé publique. Le lien entre le cholestérol et les maladies cardiaques fut établi grâce à l'épidémiologie, qui fut aussi le meilleur indicateur des facteurs du développement du cancer. La corrélation entre la cigarette et le cancer fut découverte longtemps avant que le public ne soit averti des dangers du tabagisme, car la vivisection n'était pas arrivée aux mêmes conclusions !

Dans bien des cas, les résultats de la vivisection ont retardé les découvertes : celles de la transfusion sanguine (de 200 ans) ou des transplantations de cornées, par exemple. En 1984, Sabin, l'inventeur du vaccin antipolio, déclara : " Le travail de prévention contre la polio fut retardé par une conception erronée de la nature de la maladie humaine, fondée sur le mauvais choix de modèle expérimental qu'était le singe. " Et pour les transplantations cardiaques, le professeur Barnard - pionnier dans ce domaine - affirme avoir perdu deux ans en travaillant sur les chiens, qui ne présentent pas de phénomène de rejet. L'être humain si !

Les cancers, avec environ 25% des décès, sont le deuxième tueur occidental après les maladies cardio-vasculaires. On poursuit l'expérimentation animale depuis plus d'un siècle dans ce domaine sans avancée majeure. Les souris, très fréquemment utilisées, sont loin de correspondre à un modèle idéal : elles ont tendance à souffrir de formes de cancers différentes de celles des humains. Les recherches modernes in-vitro en cancérologie se concentrent, elles, sur le cycle vital des cellules humaines cancéreuses, et sur la façon dont s'opèrent les changements, notamment en matière de multiplication aberrante.

2. " Quels sont les progrès survenus sans le recours aux animaux ? "

Ils sont légion. La compréhension de la circulation sanguine, des groupes sanguins et du facteur rhésus. Pour les anesthésiques, le chloroforme, l'éther et l'oxyde nitreux. En chirurgie, l'ablation de l'appendice, l'extraction des calculs rénaux, la technique d'opération des enfants bleus, les réparations d'anévrismes cardiaques et d'hernie inguinale, l'opération de la cataracte, l'ablation des ovaires en cas de tumeurs et les techniques stériles en matière d'asepsie opératoire. En épidémiologie, la découverte du lien entre cancer et tabac, des causes des maladies cardiaques et de nombreuses autres affections. Pour les hormones, l'identification de l'insuline et sa purification pour lutter contre le diabète. Parmi les médicaments, les beta-bloquants pour la pression sanguine, la digitaline en cas d'infarctus, la morphine contre la douleur, la quinine contre la malaria, et l'acide acétylsalicylique, ingrédient actif de l'aspirine. La hanche artificielle fut inventée par John Chamley, lequel refusait d'expérimenter sur les animaux. Sa prothèse est encore la référence pour les chirurgiens orthopédistes. Les premiers médicaments efficaces contre les leucémies infantiles aiguës apparurent dans les années 40 grâce à des études cliniques sur les patients. L'un de ces médicaments, le Methotrexate, est encore très utilisé dans le traitement de ces leucémies et d'autres cancers. Le cromoglycate de sodium (Intal), pour prévenir l'asthme, fut découvert par un médecin, sans expérimentation animale.

3. " Existe-t-il des produits qui n'agissent pas de la même façon chez les animaux et l'être humain ? "

Voici quelques uns des plus connus : La pénicilline, l'antibiotique si utile pour les humains, tue les cobayes. La morphine est un calmant pour les humains et les rats mais produit un état d'excitation maniaque chez les chats et les souris. L'aspirine, d'usage si courant, produit des malformations foetales chez les rates et les chattes. L'usage du chloroforme fut longtemps retardé en raison de sa grande toxicité pour les chiens. La digitaline, utile pour les maladies cardiaques, fut trouvée dangereuse pour les chiens sur lesquels elle fut testée.
Quelques exemples naturels : le persil est mortel pour les perroquets et l'abus de sel pour tous les oiseaux, l'amanite phalloïde ne dérange ni les limaces ni les écureuils, mais est mortelle pour l'humain.

Voici en microgrammes de produit par kilo de poids vif les résultats du test DL50 (qui détermine le dosage requis pour tuer 50% des animaux) de dioxine sur différents animaux : Rat femelle, 45 microgrammes par kilo de poids vif. Rat mâle, 22 mg / kilo. Cobaye, 1 mg / kilo. Hamster, 5000 mg / kilo. Parmi des animaux aussi proches, les grandes différences de toxicité démontrent à quel point il est irrationnel d'exploiter ces données pour les êtres humains. Toutefois, certains produits chimiques fonctionnent pour tous les mammifères de façon similaire : le cyanure de potassium est un poison pour tous. Mais, en matière de santé, compter sur le hasard ne peut suffire.

4. " Cela veut-il dire que certains produits inoffensifs pour l'animal présentent un risque pour l'homme ? "

Oui. Les tests sur animaux ne sont pas un bon indicateur de ce qui peut se passer chez les humains. Des milliers de médicaments mis en vente se sont révélés dangereux à l'usage alors que les études sur animaux n'avaient pas signalé de risque.

La Teropterine était censée traiter des leucémies infantiles aiguës, mais les enfants mouraient encore plus vite que s'ils n'avaient rien pris. Pour la mettre au point, le projet avait pourtant sacrifié 18000 souris.

Destinée à soigner des problèmes cardiaques, l'Eraldine avait été largement expérimentée sur les animaux et avait satisfait toutes les autorités de contrôle. Aucun de ces tests n'avait laissé entrevoir les effets secondaires chez les humains : cécité, tumeurs, troubles stomacaux, douleurs articulaires.

L'Opren, médicament anti-arthritique, franchit " haut-la-main " tous les tests sur animaux. On ne le retira qu'après 70 décès et, chez 3500 autres personnes, de graves effets secondaires dont des troubles de circulation et des lésions à la peau, aux yeux, au foie et aux reins.
La Thalidomide, donnée aux femmes enceintes pour prévenir les nausées matinales, fut la cause d'environ 10000 naissances anormales - les photos d'enfants mal formés ont fait le tour du monde.
Le Clioquinol, médicament anti-diarrhéique, est à l'origine de 30000 cas de graves affections au Japon. Il a causé des cécités, des paralysies et des milliers de morts dans le monde entier.
L'Osmosine était un médicament anti-inflammatoire : on lui doit 650 cas de graves effets secondaires et 20 décès.

Enfin, citons l'exemple " déroutant " du Tamoxifène. C'était un contraceptif très efficace chez les rats. Mais donné aux femmes, il a accru leur fertilité. Des essais cliniques ultérieurs ont montré son utilité contre le cancer du sein, bien qu'il fût cause de cancers du foie chez les rats. Enfin, il s'est révélé être un carcinogène humain à long terme et fut retiré du marché.

5. " A part les différences entre espèces, il n'y a pas d'autres problèmes. "

Faux. L'expérimentation animale complique et brouille les données. L'animal n'est pas un bon " matériel d'expérience ". Le stress et la détresse des animaux enfermés dans un laboratoire peuvent affecter les résultats, de même que des différences d'âge, de sexe, de régime alimentaire, et même de type de litière ! Les résultats d'un test strictement identique peuvent varier d'un laboratoire à l'autre, et même d'une heure à l'autre !

Les anesthésiants perturbent aussi les réponses, notamment en toxicologie. Mais là, les chercheurs ont trouvé la parade : en dépit de la loi qui les rend obligatoires sauf exceptions (les tests sur la douleur et les antalgiques), on s'en passe, de façon discrète. Et si les animaux souffrent, qui ira le raconter ?

Enfin, point capital, la vivisection induit les maladies de façon artificielle. Un cancer déclenché de toutes pièces ne correspond pas à celui qui surviendrait de lui-même.

6. " Quelles méthodes substitutives évitent d'utiliser les animaux ? "

La recherche fondée sur la vivisection est une science du passé. Les chercheurs ont à leur disposition plusieurs techniques modernes moins coûteuses et plus fiables. Les études in vitro, les cultures de cellules et tissus, la modélisation par ordinateur et l'analyse biologique moléculaire approfondie présentent beaucoup d'avantages : des résultats rapides et des paramètres expérimentaux faciles à contrôler. Elles se concentrent sur les niveaux cellulaires et moléculaires du processus de la vie et offrent donc des informations plus utiles sur la façon dont les produits chimiques et les médicaments peuvent fonctionner ou causer des dégâts (étude sur l'ADN).

L'intérêt de l'utilisation expérimentale d'unicellulaires dans les méthodes de recherche en toxicologie par exemple, provient du fait qu'il s'agit en quelque sorte d'une " duplication " absolument identique d'un même type de cellule ; ce qui permet donc d'obtenir toutes les données statistiques basées sur la loi des grands nombres. exactement de la même manière que dans l'expérimentation animale habituelle ; mais là, sans devoir sacrifier un seul animal ! De plus, les cellules utilisées offrent même une plus grande " adaptabilité " aux diverses conditions de culture d'une part, et d'expérimentation ultérieure d'autre part ; ainsi, les réponses obtenues d'une substance testée sont beaucoup plus fiables du fait qu'il n'y a plus ici, d'interférences qui étaient jusqu'ici rencontrées chez l'animal : le stress normal et dû au milieu carcéral de l'expérimentation, le poids, la nature, l'origine de l'animal., ceci amenait à l'aberration de répéter quantitativement toujours la même expérience. en sacrifiant toujours un plus grand nombre d'animaux. La culture de ces unicellulaires peut en outre s'effectuer dans toutes les conditions possibles, de jour comme de nuit, en basse ou haute température, etc., sans une grande incidence sur les résultats ; et sans provoquer la moindre souffrance. Ces cellules unicellulaires peuvent pousser comme une cellule animale, dès qu'elles sont mises en présence d'une substance nutritive comme le sucre, l'alcool, l'acide lactique, etc. Les cellules unicellulaires utilisent les éléments naturels pour se développer : la lumière, le gaz carbonique qu'elles réduisent en sucres et oxygène qui est rejeté dans l'atmosphère. Mieux encore, savez-vous que ces unicellulaires se comportent aussi comme de véritables cellules hépatiques, en transformant par exemple des lactares en glycogène ? Etc.. Ainsi, sur le plan pratique, on peut demander aux cellules unicellulaires absolument tous les tests auxquels sont habituellement soumis - cruellement - des animaux ; avec elles, on peut donc obtenir une A.M.M. (Autorisation de Mise sur le Marché) d'une manière beaucoup plus fiable qu'en sacrifiant des milliers d'animaux issus de diverses espèces. Car il est possible de prouver que la substance proposée, à un dosage déterminé, ne présente aucune toxicité pour l'humain. Tous les types de tests peuvent être effectués : qu'il s'agisse d'une substance médicamenteuse, d'une lessive, d'un désherbant, d'un cosmétique. ou de toute autre substance ! Et les résultats obtenus laissent apparaître - par rapport à ceux déjà obtenus depuis longtemps au prix d'atroces souffrances animales - des résultats encore plus rapides et plus probants.

Par ailleurs, l'informatique permet d'analyser l'énorme base de données sur l'évolution des maladies à travers le monde, fournie par les études épidémiologiques.

De plus en plus de scientifiques travaillent exclusivement avec ces techniques. De même, ils abandonnent la première vague de cultures de cellules animales pour utiliser des cellules humaines, les seules à véhiculer un résultat directement transposable à notre espèce. Aussi, apparaît-il absolument nécessaire que les autorités de tutelle (Ministère de la Recherche Scientifique et de la Santé) engagent une politique d'envergure en ce sens, afin de pouvoir " standardiser " ce type de méthode alternative à l'expérimentation animale. Pourtant, pour les valider, on veut les comparer avec les expériences sur l'animal qui, elles, n'ont jamais été comparées à quoi que ce soit pour juger de leur efficacité !

7. " Préfériez-vous voir mourir votre enfant plutôt que des animaux ? "

La question ne se pose pas ainsi mais entre une bonne et une mauvaise science. Génératrice de résultats inexacts et dangereux, la vivisection fait perdre énormément de temps et de ressources précieuses. En outre, expérimenter sur les animaux n'a jamais dispensé d'expérimenter aussi sur des humains, dans les stades ultimes d'évaluation de la toxicité et de l'efficacité d'un produit. Et afin d'aider nos enfants, nous devons tout mettre en oeuvre pour prévenir les causes de leurs maladies et de leur souffrance, sans nous laisser influencer par ceux qui ont des intérêts financiers dans la recherche animale et essaient de nous faire croire que leurs méthodes obsolètes et inexactes pourront sauver des vies. Un exemple : les études sur la carence maternelle, au cours desquelles des singes sont enlevés à leurs mères et maltraités, représentent un incroyable gaspillage. La conclusion de ces études, à savoir que les mauvais traitements et le manque de soins entraînent des désordres psychologiques, n'est pas une révélation stupéfiante ! Cela ne justifie ni les souffrances d'innombrables animaux ni les millions de francs dépensés. Et pendant ce temps, les programmes pour venir en aide aux enfants maltraités et abandonnés sont privés des fonds dont ils auraient tant besoin.

8. " Les fonds destinés à la recherche sont-ils bien employés ? "

Toutes les recherches ne sont même pas considérées comme indispensables, de l'aveu de nombreux chercheurs : répétitions inutiles, travaux sans intérêt réel, réalisés surtout pour obtenir de la notoriété et des crédits. Dans le monde scientifique, il faut " publier des résultats ou périr ". Et tant pis pour les gaspillages en vies animales et en deniers publics. De plus, il y a toujours une résistance aux idées nouvelles, spécialement en science. Considérez la réticence qu'ont eue nos ancêtres à accepter la théorie de Copernic de la rotation de la terre autour du soleil, ou celle de Galilée. La vivisection persiste par la volonté de la communauté scientifique de protéger son pouvoir et par celle des puissants fabricants de vendre leurs médicaments, produits chimiques, etc., qu'ils soient sûrs ou pas.

9. " L'expérimentation animale est un gage scientifique de sérieux et de sécurité. "

Si c'était vrai, il n'y aurait pas tant d'accidents graves et de médicaments retirés du marché. Ils se comptent par milliers, tous ces produits qui n'avaient pas posé de problèmes aux animaux et dont la toxicité s'est révélée sur les humains. Dans une étude britannique sur le cancer, des chercheurs ont constaté, apparemment satisfaits, que le taux de corrélation entre leur modèle, le lapin, et l'être humain était de 37%. Il serait plus sûr de jouer à pile ou face ! Et les laboratoires américains ne savent plus quoi faire de leurs chimpanzés : même eux ne développent pas le sida. De leur propre aveu, chaque primaterie de 200 individus " inutiles " leur coûte un million de dollars par an (magazine Science avril 1997). Une récente étude effectuée sur sept ans par l'université très respectée d'Uppsala (Suède), recueillant les résultats de 84 laboratoires internationaux, a montré que les essais d'innocuité des médicaments anti-sida sur d'autres espèces sont moins fiables que les tests sur cellules humaines. En utilisant ces méthodes substitutives, l'étude a montré une amélioration de 50% dans les prédictions de toxicité par rapport à l'expérimentation sur des animaux entiers, vivants.

10. " Les animaux sont-ils nécessaires pour des transplantations d'organes humains ? "

Le grand public voit souvent dans les transplantations un progrès médical considérable, mais la majorité des maladies de coeur, de foie et de reins (les organes le plus souvent transplantés) peuvent être évitées par une médecine préventive et un mode de vie plus sain. Voilà les stratégies les plus sensées et les plus efficaces pour faire régresser les maladies qui rendent ces transplantations nécessaires. Toutefois, quand il faut les envisager, il est clair que les organes humains sont différents des organes animaux. Le système immunitaire humain rejette violemment tous les organes animaux implantés. Et ces scientifiques essaient de produire des animaux possédant de l'ADN humain pour réduire cette réaction immunitaire. Les sommes déjà dépensées pour vaincre ces obstacles sont énormes. Pendant ce temps, aucune campagne de prévention n'est mise en place.

Ces expériences de xénogreffes sont extrêmement dangereuses car les apprentis sorciers créent des nouveaux virus " recombinants " (entre les virus des espèces " mises en présence ") qui risquent un jour de se répandre en faisant passer le sida pour une plaisanterie. Des études ont révélé que des virus porcins transmissibles ne pouvaient être supprimés des greffons, lesquels risquaient donc de contaminer les humains qui les recevraient. Source : Nature, vol. 389, 16 octobre 1997.

11. " On tue des animaux pour bien d'autres raisons. Quelle différence voyez-vous entre tuer un porc pour se nourrir et l'expérimenter pour notre bénéfice ? "

Les animaux souffrent pour de nombreuses " raisons " fort discutables, mais ils souffrent davantage et beaucoup plus longtemps dans les laboratoires. Un chat peut avoir des électrodes dans le crâne pendant des mois, un chien absorber des produits chimiques pendant des essais toxicologiques de 52 semaines. Il arrive que des singes macaques vivent plus de 20 ans dans les mêmes petites cages d'un laboratoire !

A cause d'une expérimentation animale qui ne remplit pas correctement sa fonction scientifique, n'importe quel produit nocif pour l'humain, arrive sur le marché, et pas seulement en matière de médicaments. Combien de fongicides, insecticides, pesticides ou de désherbants seraient retirés du commerce si on savait vraiment à quel point ils sont nocifs pour l'environnement et les consommateurs de produits agricoles ? (en 1997, une recrudescence des cancers du cerveau dus aux pesticides a été constatée chez les agriculteurs français.) Et combien d'additifs alimentaires sont en fait cancérigènes ? Pourtant ils ont tous été testés sur des animaux.

Les statistiques (françaises notamment) relatent toutes une augmentation des cancers. Les puissants fabricants de produits chimiques ont trop à perdre pour tolérer que des méthodes substitutives, plus fiables, viennent remettre leur marché en cause. Et au lieu d'investir dans la prévention, on inonde le marché de produits nocifs, et on en vend d'autres pour soigner les maux causés par les premiers.

Il est techniquement possible, scientifiquement souhaitable et moralement nécessaire de se passer de l'expérimentation animale. La vivisection resterait moralement condamnable même si elle était indispensable. Mais elle ne l'est pas car les animaux ne représentent pas le bon choix scientifique. Si des malheureux sont expérimentés, ce n'est pas pour le bénéfice de l'humanité mais pour le profit des fournisseurs d'animaux de laboratoire et des grosses firmes qui ont des intérêts évidents dans tout ce commerce médico-pharmaceutique.
Répondre
20/09/2006, 14h11
De nombreux Etats utilisent également des animaux: singes, chèvres, lapins, porcs, chiens, rats, chats, pour leurs recherches militaires, principalement orientées vers " l'amélioration" des armes biologiques et chimiques. En 1979, Charles HERNU, alors député et futur ministre de la Défense nationale en France, déclarait au ministre de la Santé: " Les industries d'armement utilisent des modèles vivants" pour tester différentes armes comme, par exemple, le rayon laser qu'on dirige vers les yeux des singes pour les amener à ébullition et à explosion".

Ces expériences, comme la perforation des chairs jusqu'à l'os en une fraction de seconde, ne sont destinées qu'à augmenter l'effet destructeur du laser sur l'homme.

Des animaux sont aussi exposés aux brûlures nucléaires ou sont nourris d'aliments irradiés à des doses bien plus fortes que celles enregistrées dans les zones de retombées nucléaires.

Des porcs sont sacrifiés aux essais des armes nécrosantes, dont la projection de gaz détruit les muqueuses puis, conjugués à la présence d"eau, réduit le corps en cendres, Des sacrifices similaires servent à potentialiser les effets destructeurs des obus à billes, au chlore ou à fléchettes.

Secret d'Etat, la recherche militaire? Pourtant, elle s'effectue grâce à l'argent de NOS IMPÔTS, avec notre complicité involontaire.

Et ces armes, testées sur les animaux, frapperont ensuite des populations, mutileront ensuite des enfants....

source : http://www.reseaulibre.net/rage/page2.html

c'est DEGUEULASSE !!! IMMONDE !!! ET CRUEL... Smiley
Répondre
23/09/2006, 16h55
Pour que chiens et chats ne servent plus de cobayes, One Voice organise une action de protestation nationale. Chiens et chats sont nos compagnons, pas nos esclaves !

One Voice a décidé de le mettre en image en réalisant une grande affiche composée de photos nous représentant à leurs côtés. Elle servira de support à la campagne contre l?expérimentation sur les chiens et les chats. Prenez une photo de vous avec votre chien, votre chat, et une pancarte mentionnant « Non à l?expérimentation sur nos compagnons chiens et chats. Oui aux méthodes alternatives ». Faites-nous parvenir vos clichés*, vous mettant en scène avec votre ou vos compagnons, avant le 22 septembre. Demandez à votre entourage d?en faire autant, plus nous serons nombreux, plus nous aurons de chances de nous faire entendre ! Le 4 octobre, venez manifester à nos côtés avec le plus d?amis et de sympathisants possible ! Des représentants de One Voice seront reçus au Ministère de la Recherche pour un entretien. Réveillons les consciences ! C?est notre pouvoir de citoyens ! Pour nous soutenir : rendez-vous à 14 heures devant le ministère de la Recherche.

Vous y découvrirez vos photos, affichées sur un immense panneau www.onevoice-ear.org : <http://www.onevoice-ear.org/>
Photo numérique : [email protected] Photo papier : One Voice - 23, rue du Chanoine Poupard – 44319 Nantes

_________________________

juste un petit détail, c'est très bien une manifestation comme ça, mais ça aurait pu englober tout les animaux et pas seulement les chiens et les chats...
Répondre
08/10/2006, 21h03
Résultat d'une enquête

http://img517.imageshack.us/img517/7097/dangerouslargewc8.jpg

La BUAV fait connaître les résultats d'une enquête de 12 mois sur l'élevage de primates Nafovanny (Vietnam) qui détient environ 30 000 macaques et fournit entre autres les laboratoires Huntingdon Life Sciences et Covance.

International transit ( 40 heures de transport pour les primates )

http://img517.imageshack.us/img517/8155/journeyuu5.gif

http://img507.imageshack.us/img507/5130/monkeybuavnoksplashkl7.gif

Page web (photos, videos etc...) :

http://www.buav.org/campaigns/primates/monkeybusiness/flashindex.html

Pétition-lettre On-Line :

Cliquez ici http://www.eceae.org/saveprimates/en/action.html

pour demander à la commission européenne de bannir les tests sur les primates ( Allez en bas de page et remplissez les cases ).
Répondre
09/11/2006, 21h13
quand je vois ça ! je me demande comment ils peuvent se regarder dans un mirroire ! j'encourage vraiment tout le monde à chercher et à acheter des produits non testés le plus possible !
quand à la médecine... malheureusement on a pas le choix de se soigner ! même l'homéopathie est je crois testés ! faut que je me renseigne plus précisément !

http://www.youtube.com/watch?v=Okvr7xOe_Js&mode=related&search=

Répondre
12/11/2006, 02h42
Le vendredi 17 novembre 2006

Il y aura une CONFERENCE avec diffusion de vidéos
suivie d'un DEBAT, organisée par le CLAM
(Collectif de Libération Animale de Montpellier)

L'entrée est libre...

EXPERIMENTATION ANIMALE :
Une erreur mortelle… pour tous !

http://www.flac-anticorrida.org/cyber/conf-clam.html

Le vendredi 17 novembre 2006
à 20 h 00
au Novotel
125 Bis, Avenue de Palavas
34070 MONTPELLIER France
Tél. : 06 82 75 20 67 / 06 16 08 08 28

CONFERENCE avec diffusion de vidéos
suivie d'un DEBAT, organisée par le CLAM
(Collectif de Libération Animale de Montpellier)

Entrée libre

Intervenants :
Claude Reiss, Président de Antidote Europe, ex-directeur de recherche au CNRS, gérant de Vigilent Technologies et également un des rares experts Européens en toxicogénomique.
Eric, animateur de International Campaigns
Animation :
L'équipe Melvita, l'une des nombreuses marques de produits cosmétiques, qui refusent les tests sur les animaux.


Répondre
20/11/2006, 18h33
Des chiens meurent pour enseigner aux soldats du Pérou comment tuer

Des soldats apprennent à tuer en se pratiquant sur des chiens

Les commandos de Barechested brandissant des couteaux en prenant chacun leurs tours la chargent vers un chien . Ils poignardent l'animal qui jappe jusqu'à ce qu'il meure. Puis, dans un acte grotesque de machisme militaire, les soldats mangent le coeur du chien et boivent son sang.

LIRE LA SUITE (en anglais par contre) :

http://tinyurl.com/3mkz

ne me demandez pas de traduction, je suis nul en anglais... je n'y comprend rien ! la traduction du début, ce n'est pas moi qui l'est faite !
Répondre
20/11/2006, 18h39
Les animaux n'ont donc pas assez de subir les effets de nos guerres, ils sont forcés d'y goûter avant nous. Ces expériences sont menées, non pour soigner mais pour mettre au point des armes qui forcément un jour nous tueront NOUS LES HUMAINS!. Celle qui portent sur les armes biologiques et chimiques sont particulièrement horribles, nous ne pourrions mieux en donner un aperçu qu'en citant un extrait du cahier «La guerre est commencée dans les laboratoires », d'Émilie Potelle.

Voici quelques armes qu'on y décrit:

« La recherche des armements commence au laboratoire. Rechercher, expérimenter et mettre au point des armements, c'est créer les moyens de la guerre par l'instrument premier du laboratoire. Il sera surtout question des agents BC, biologiques, et chimiques.

[...]

«À partir d'un stade, le laboratoire concevant des armements comportera une animalerie. Car toute cette recherche ne vise qu'à tuer, blesser, brûler, transpercer, nécroser, asphyxier, et qu'à évaluer et mesurer le degré de brûlure, d'incapacitation de destructtion.

«Pour fabriquer le fusil laser chimique, portatif, qui aura à traverser et à tuer un homme jusqu'à 8 Km de distance, on transperce en laboratoire des singes et des lapins à l'aide du laser. Cela se passe notamment dans un des laboratoires de l'Ohio. Le rayon laser est projeté vers les yeux, ce qui les amène à ébullition, d'où l'explosion de l'oeil et l'aveuglement définitif. Sur les primates, la chaleur intense du rayonnement creuse la chair jusqu'à l'os, en une fraction de seconde, enlevant des portions entières du corps transformées en bouffées de fumée...

« Le calibrage de l'arme nucléaire s'effectue lui aussi en laboratoire sur des animaux [...] Dans un laboratoire de la Californie 1 000 chiens ont été nourris d'aliments contenants des doses de radiations 200 000 fois plus fortes que celles que pourraient supporter des hommes qui se trouveraient dans une zone de retombées radioactives. Les terribles brûlures internes comme externes des chiens ont été utilisées à étalonner les effets radioactifs des futurs engins nucléaires.

D'autres armes ont été expérimentées et mises au point par l'expérimentation animale interposée:
L'arme nécrosante, testée sur des rongeurs, et qui détruit les muqueuses internes au moyen de ses gaz; associée à l'eau, elle provoque la nécrose, la destruction des tissus du corps, lequel est réduit en fumée: cette arme au phosphore blanc enflamme l'air, et, au moindre effet, porte la chair à vif pendant des mois.

L'obus à billes, qui, testé sur les grands herbivores, puis utilisé effectivement lors de la guerre du Viêt-nam, libère des milliers de billes minuscules qui pénètrent dans le corps selon une trajectoire en crochets, y provoque des dégâts irréparables et entraîne une agonie longue et affreuse. Des images, montrant des dos humains labourés par cette arme existent;

La bombe explosive CS, qui détruit les poumons et les viscères. »
En 1964, Donald B. est assigné à la Brooks Air Force Base, au Texas. Il fait partie d'une équipe chargée d'entraîner des singes, au moyen de choc électrique persuasif, à effectuer des tâches complexes pour ensuite les soumettre à des radiations afin d'étudier comment leur performance en est affectée.

Les animaux sont gardés à jeun de 18 à 24 heures, après quoi ils sont placés dans des sièges de contention où leur sont administrées des doses de radiations tellement fortes que certains en meurent sur place. En 1980 Donald B. refuse de procéder à une expérience qu'il considère scientifiquement invalide. Il est suspendu. C'est la meilleure chose qui lui soit arrivée, reconnaît-il, ce congé lui ayant permis de prendre du recul et de s'interroger. Il s'est demandé en quoi il avait pu aider les humains en pratiquant la vivisection sur des singes, et s'est aperçu qu'il ne pouvait répondre à cette question.

Des recherches militaires pour tuer mieux et plus vite

De nombreux Etats utilisent également des animaux: singes, chèvres, lapins, porcs, chiens, rats, chats, pour leurs recherches militaires, principalement orientées vers " l'amélioration" des armes biologiques et chimiques. En 1979, Charles HERNU, alors député et futur ministre de la Défense nationale en France, déclarait au ministre de la Santé: " Les industries d'armement utilisent des modèles vivants" pour tester différentes armes comme, par exemple, le rayon laser qu'on dirige vers les yeux des singes pour les amener à ébullition et à explosion".

Ces expériences, comme la perforation des chairs jusqu'à l'os en une fraction de seconde, ne sont destinées qu'à augmenter l'effet destructeur du laser sur l'homme.

Des animaux sont aussi exposés aux brûlures nucléaires ou sont nourris d'aliments irradiés à des doses bien plus fortes que celles enregistrées dans les zones de retombées nucléaires.

Des porcs sont sacrifiés aux essais des armes nécrosantes, dont la projection de gaz détruit les muqueuses puis, conjugués à la présence d"eau, réduit le corps en cendres, Des sacrifices similaires servent à potentialiser les effets destructeurs des obus à billes, au chlore ou à fléchettes.

Secret d'Etat, la recherche militaire? Pourtant, elle s'effectue grâce à l'argent de NOS IMPÔTS, avec notre complicité involontaire.

Et ces armes, testées sur les animaux, frapperont ensuite des populations, mutileront ensuite des enfants....

L'ARMÉE US LIVRE UNE GUERRE MORTELLE AUX ANIMAUX
Des tests radiobiologiques

Dans leurs efforts pour développer et perfectionner les armes de destruction, les USA mènent une guerre secrète et mortelle sur les animaux.

Tous les ans, le Département de la Défense ( DOD ) irradie, brûle, empoisonne, tire, congèle et saigne à mort, des dizaines de milliers d'animaux!
Singes, chiens, chats, lapins, souris, moutons, porcs et chèvres sont exposés à des doses radioactives chimiques et d'agents biologiques mortels, mêmes si leurs effets sont déja bien connus.

Les militaires détiennent des documents des terribles sévices et des souffrances subis par de nombreux animaux qui agonisent lentement et meurent d'infections, de déshydratation, de famine, de diarrhées sanglantes et de vomissements.

En 1991, IDA ( Acte de liberté d'accès à l'information ) commença ses investigations sur cette ignoble cruauté.

Grâce à des témoignages anonymes de personnel militaire et des données récoltées au IFA ( Acte de liberté d'accès à l'information ), IDA réunit une documentation épouvantable sur la cruauté et les sévices perpétrés sur des animaux dans les laboratoires militaires.

Le 7 avril 1992, la commission des Armées de la Chambre des représentants reçu des auditions sur les expérimentations militaires faites sur les animaux.

D'anciens chercheurs, du personnel militaire et Monsieur Eliliot M. Katz, vétérinaire et Président d'IDA, portèrent une plainte avec témoignages concernant l'immense gâchis et les sévices infligés aux animaux dans les programmes de recherches de la DOD 2.

«C'est une horrible chose de surveiller un animal en train de mourir d'irradiation, dépérissant, agonisant avec une diarrhée sanglante et vomissant. C'est affreux...» Donald Barnes, ancien chercheur en radiation à l'USAF

Suite à cette précédente audition fut incorporé le "Defense Authorization Act de 94" qui stipulait: «Cette commission est compétente en ce qui concerne l'usage des animaux dans les expériences militaires. La commission a entendu des témoignages qui soulèvent des questions dérangeantes concernant la nécessité, la position éthique, la supervision et la qualité des expériences militaires».

Comme les rouages de la bureaucratie gouvernementale tournent lentement, la guerre de la DOD sur les animaux continue encore.

De récentes révélations concernant les essais secrets d'irradiation sur des personnes par la DOD témoignent du côté noir des industries biomédicales et militaires. C'est à chacun de nous de réaffirmer que la fin ne justifie pas les moyens, d' exiger que les horreurs perpétrées sur des êtres innocents, humains et non humains pareillement, viennent à êtres totalement arrêtées.


TÉMOIGNAGES

« C'était une horrible expérience...Elle prenait parfois plus d'une semaine avant que les chiens meurent. »
Laura Walters, ancienne employée des forces armées au RRI ( Institut de recherches radiobiologiques )
« Le stress et l'utime sacrifice que des animaux en bonne santé ont à subir ( à souffrir) , me dépassent ».
Joël D.Mark, Médecin d'ugence

« Le public a été déçu en pensant que son souci de protection des animaux était soigneusement représenté. Rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité ».
Jan Polon Novic, Citoyen: Revue de la Commission institutionnelle de l'armée

« La recherche est simplement reproduite et reconfirme des observations rapportées trente ans plut tôt.
Jane Sander, MD

« C'est un tragique gaspillage de vies animales, sans justification autre que de maintenir des emplois. C'est plus que scandaleux. C'est moralement obscène. Le temps est venu de mettre un terme aux expériences militaires sur les animaux . »
Sam Cohen, Inventeur de la bombe à neutrons


SOURCE: R.A.G.E

Répondre
22/11/2006, 00h37
Mutilations animales et armée

Citation:
Outre la volonté de l'armée américaine d'entretenir la croyance aux extraterrestres, il doit exister d’autres mobiles que chacun est libre d'imaginer : entraînement en réel des commandos mais aussi des services de désinformation, test d'armes chimiques et bactériologiques [cf JS90 p. 188-189, citant les recherches de Howard Burgess et du sergent Gabriel Valdez] ou à micro-ondes, éradication discrète d'un virus bovin [cf JS90 p. 188], etc. Cependant, la plus plausible hypothèse quant au mobile est celle d'une évaluation par l'armée américaine des retombées radioactives sur l'environnement à la suite des centaines d'essais nucléaires effectués depuis les années 50 et dont on sait que certains furent contaminants (recherches de David Perkins, de Richard Sauder…). L'examen de certains organes de bétail herbivore permettrait d'évaluer le taux de radioactivité du sol dans les régions où le vent avait propagé de gigantesques nuages radioactifs. En janvier 1993, un rapport de l'agence américaine de protection de l'environnement a affirmé la nécessité d'exercer un contrôle des animaux destinés à la consommation qui broutaient près des sites à risques de contamination tels que les anciennes zones d'essais nucléaires, les mines d'uranium et les dépôts de déchets. Ce contrôle devait se faire à partir de sang et d'organes prélevés. Mais pourquoi ne pas prélever discrètement ces organes dans les abattoirs ? On a suggéré que les animaux devraient peut-être d’abord recevoir une injection et être marqués avant de procéder ultérieurement au prélèvement des organes, mais cela reste jusqu’à présent spéculatif…
c'est vraiment dégueulasse ce qu'ils font ! Smiley
Répondre
01/12/2006, 22h01
Une alternative est en marche. Vote au Sénat d'une proposition de Philippe Mahoux

BRUXELLES Un nouveau pas dans la promotion des alternatives à
l'expérimentation animale a été franchi au Sénat. La commission des Affaires sociales a adopté une proposition de résolution du sénateur Philippe Mahoux (PS) relative aux alternatives scientifiques à l'expérimentation animale dans le domaine de la recherche biomédicale.

Cette proposition demande au gouvernement d'écouter les cientifiques qui, tirant parti des découvertes en génétique humaine, proposent aujourd'hui d'utiliser des cellules humaines et de l'ADN humain pour évaluer de manière fiable la toxicité de substances chimiques mises sur le marché. Cette technique garantirait ainsi que les résultats observés sont fiables pour les humains. Ces scientifiques estiment qu'il est superflu et inutile d'un point de vue scientifique de recourir à l'expérimentation sur les animaux.

Le sénateur Mahoux demande au gouvernement de réaliser une étude
scientifique qui déterminera la fiabilité de cette méthode, qui pourrait
donc remplacer l'expérimentation animale dans le domaine de la recherche biomédicale. Le sénateur demande aussi de mettre à l'étude la création d'un Centre belge de toxicogénomique.

Philippe Mahoux rappelle en outre que "l'expérimentation animale, si elle demeure encore aujourd'hui la référence, n'a jamais été validée ni
considérée comme véritablement fiable. Elle est, selon certains
scientifiques, adoptée faute de mieux. Il est toujours impossible de
prédire, si pour telle substance administrée à telle dose, la réaction
humaine sera la même que celle observée sur tel ou tel animal".


http://www.dhnet.be/dhinfos/article.phtml?id=161271


Répondre
02/12/2006, 09h50
Mag, tu fais vraiment du bon boulot. Smiley Smiley
__________________
[size=xx-small]Faisons tous classer nos chiens en classe 2[/size]
Répondre
02/12/2006, 12h29
merci... Smiley
Répondre
11/01/2007, 18h04
http://www.animalexperiments.ch/html/info_f.htm

C'est le site d'un médecin repenti.
Zürich (Suisse) - ce médecin-biologiste, après avoir cru indispensable - de 1979 à 1988 - de faire des expériences sur les animaux, est passé depuis 16 ans de l'autre côté de la barrière.
En 1989, il abandonne sa carrière afin de lutter pour l'abolition des expériences sur les animaux et fonde l'Association pour l'Abolition des Expériences sur les Animaux, dont il est président et directeur. Avant chaque Téléthon suisse, il fait distribuer des dépliants dans les boîtes aux lettres, lance des campagnes d'affichages et fait publier des annonces dans les journaux, afin d'informer le public sur les échecs, les dangers et l'inutilité des expériences sur les animaux.

Voici la liste des articles que l'on peut trouver (tous disponibles en version pdf) sur son site :

INFORMATIONS CONTRE L'EXPERIMENTATION ANIMALE :

L'expérimentation animale et les médias:
. Le mythe de l'expérimentation animale: Journalisme scientifique
. Sponsors de l'"Association Suisse du Journalisme Scientifique"
. Le mythe de l'expérimentation animale: Prix de recherche

"Méthodes alternatives" . "3R (Refine, Reduce, Replace)":
. Le mythe de l'expérimentation animale: Méthodes alternatives
. Liste des organisations pour la protection des animaux en Suisse qui tiennent
aux "3R" et promeuvent et/ou financent les "méthodes alternatives" équivalentes aux
expériences sur les animaux
. Le mythe de l'expérimentation animale: Commissions pour les expériences sur animaux
. Letter by Dr. Anderegg to the "American Anti-Vivisection Society", U.S.A. (en anglais)
. A critique of the "3Rs" (en anglais)
. If we don't use animals, what will we use? (en anglais)
. Superior non-animal methods (en anglais)

Sécurité des produits:
. Les médicaments doivent être testés sur les animaux. Réalité ou fiction?
. Le mythe de l'expérimentation animale: La tragédie de la thalidomide
. Le mythe de l'expérimentation animale: Sécurité des produits
. L'homme victime de l'expérimentation animale: Produits chimiques
. Dangerous Medicine: Examples of Animal-Based "Safety" Tests Gone Wrong (en anglais)
. Would drugs be safe for us without first being tested on animals? (en anglais)
. Superior non-animal methods (en anglais)
. Other frequently asked questions (en anglais)

Maladies:
. Formules magiques de l'expérimentation animale
. Expériences sur les animaux?
. La santé grâce aux expériences sur les animaux?
. Le mythe de l'expérimentation animale: Vaccin contre la polio
. Un regard critique sur l'expérimentation animale (commandez cette brochure ici gratuitement)
. If we don't use animals, what will we use? (en anglais)
. Superior non-animal methods (en anglais)
. Other frequently asked questions (en anglais)

Maladies génétiques:
. Téléthon: Qui vous trompe?
. Maladies génétiques? - Aucun espoir de guérison par l'expérimentation animale.
. Article publié dans la Tribune de Genève du 27 novembre 2006 concernant notre campagne
d'affichage et le Téléthon
. Les expériences sur les animaux garantissent que les maladies génétiques restent
incurables. Pourquoi?
. Le Téléthon finance les projets de recherche du Prof. Ann C. Kato, expérimentatrice
sur les animaux à l'Université de Genève
. Les expériences sur les animaux du Prof. Ann C. Kato
. Lettre publiée dans le GHI en juin 2005 concernant le Téléthon
. Lettres publiées dans 24 Heures en janvier 2005 concernant le Téléthon
. If we don't use animals, what will we use? (en anglais)
. Superior non-animal methods (en anglais)
. Other frequently asked questions (en anglais)

Sclérose en plaques:
. La recherche sur la sclérose en plaques dans une impasse
. Les expériences sur les animaux garantissent que la sclérose en plaques reste
incurable. Pourquoi?
. If we don't use animals, what will we use? (en anglais)
. Superior non-animal methods (en anglais)
. Other frequently asked questions (en anglais)

Paraplégie:
. La recherche sur la paraplégie dans une impasse
. Le mythe de l'expérimentation animale: Guérison de la paraplégie
. Les expériences sur les animaux garantissent que la paraplégie reste incurable. Pourquoi?
. Lettre du Dr Anderegg publiée dans la Tribune de Genève en avril 2005
. L'acteur de "Superman" Christopher Reeve est mort (le 10 octobre 2004)
. If we don't use animals, what will we use? (en anglais)
. Superior non-animal methods (en anglais)
. Other frequently asked questions (en anglais)

Le mythe de l'expérimentation animale:
. Transmissibilité
. Xénotransplantation

Autres organisations qui luttent contre les expériences sur les animaux
pour des raisons médicales et scientifiques (en anglais):
. Europeans for Medical Progress
. Americans for Medical Advancement
. Medical Research Modernization Committee
. Physicians Committee for Responsible Medicine

Répondre
Lancer une nouvelle discussion