18/09/2006, 00h07
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La représentante du parquet de Paris a requis vendredi la condamnation du gérant de quatre animaleries situées sur les quais de la Seine à Paris pour des mauvais traitements infligés aux animaux ainsi que pour possession d'espèces prohibées.
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La procureure a demandé une "peine significative sachant que l'amende la plus forte prévue par le code (pénal) est de 15.000 euros". Elle a par ailleurs souhaité "en lieu et place de la détention une interdiction d'une durée de cinq ans d'exercer une activité professionnelle liée au commerce des animaux ou de posséder des animaux". L'attention des services vétérinaires avait été attirée notamment par un courrier anonyme sur l'activité de quatre magasins situées sur le quai de la Mégisserie (1er arrondissement de Paris), célèbre pour ses boutiques proposant oiseaux, chiots ou poissons aux badauds. L'enquête allait révéler que Jean-Pierre Lieuvin, 56 ans, le propriétaire des quatre magasins "L'oisellerie du Châtelet", "La Perruche Bleue", "Le Paradis des Oiseaux" et "L'Aqualumineux" possédait un élevage d'une quarantaine de chiens, tenu dans des conditions d'hygiène très insuffisantes (cages sans eau et pas nettoyées...), dans son château situé en Seine-et-Marne. Dans des congélateurs installés dans l'habitation principale, avaient également été retrouvés plusieurs animaux morts tels que des panthères, un lama, des renards, des blaireaux ou des tortues qui, selon les enquêteurs, étaient destinés à des taxidermistes. "Il faudrait que M. Lieuvin se souvienne que les animaux ne sont pas qu'une marchandise destinée à faire de l'argent mais sont des êtres sensibles qui souffrent physiquement et psychiquement", a affirmé la représentante de l'accusation. De son côté, l'un des avocats des parties civiles, Me Xavier-Jacques Bacquet, pour l'association "Trente millions d'amis", regrettait que l'infraction de trafic d'animaux n'existe pas, soupçonnant derrière les faits de mauvais traitements ou de détention d'espèces protégées imputés à M. Lieuvin, un véritable réseau lié notamment à des élevages clandestins de chiens dans les pays de l'Est. Jugement le 22 septembre. http://www.metrofrance.com/part/flux/060908180230.jwjht3m8.php |
18/09/2006, 00h13
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PARIS (AP) - Le procureur de la République du tribunal correctionnel de Paris a requis vendredi une peine significative contre le propriétaire de quatre animaleries situées sur les quais de la Seine à Paris pour avoir maltraité des animaux et possédé des espèces prohibées.
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L'amende pour ces infractions ne peut pas dépasser 15.000 euros, mais le parquet a également réclamé une interdiction d'exercer une activité liée au commerce des animaux d'une durée de cinq ans et l'interdiction de posséder des animaux pour Jean-Pierre Lieuvin. Lors d'une perquisition dans les magasins du prévenu en 2000 et 2001, suite à une lettre anonyme, et dans sa propriété en Seine-et-Marne, les policiers ont découvert des animaux malades, un serpent mort dans une poubelle, des chiens gardés dans des conditions hygiéniques déplorables et des animaux congelés, notamment une panthère et un lama. Jean-Pierre Lieuvin était dans l'incapacité de fournir les certificats de provenance d'un certain nombre d'animaux, notamment de quatre chauve-souris et d'autres animaux prohibés. Il a expliqué aux enquêteurs qu'il ne changeait la paille des chiens que tous les 15 jours, mais a nié avoir porté des coups aux animaux. "Les conditions d'hygiène étaient quand même assez désastreuses", lui a reproché vendredi la présidente de la 31e chambre du tribunal correctionnel. "Les accusations sont lourdes pour des cacas", lui a rétorqué le prévenu. AP http://permanent.nouvelobs.com/societe/20060908.FAP0593.html?1746 |
18/09/2006, 00h37
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voilà un bon début pour démarrer le sujet sur les animaleries... la suite va arriver...
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18/09/2006, 00h46
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Description :
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Avec cette pétition, nous exigeons une approche concrète du problème de l' élevage industriel. Les éleveurs industriels élèvent pour l'argent, non par amour pour le chien. Ils posent peu de questions aux futurs propriétaires et refusent rarement une vente. Ils élèvent différentes races populaires sans s'intéresser aux problèmes spécifiques et caractéristiques d'une race. Aucun chien ne mérite de vivre ses premières semaines ou mois de sa vie dans une cage ou derrière une vitre. Les chiens sont des créatures sociales qui ont souvent besoin de contact humains et chaleureux. Si ils ne reçoivent pas ce contact pendant les premières semaines de leurs vies, le risque qu'ils grandissent avec une attitude problématique augmente. N'oublions non plus les chiennes d'élevage : elle doivent produire encore et encore et ne pourront jamais être un chien normal. Quand elles sont trop vielle pour produire de l'argent, on les met dans un asile ou on les euthanasie. Petition: Cette pétition a été mise en place par le Comité d'Action contre l' élevage industriel, un petit groupe d'amis des chiens indépendant qui veulent faire quelque chose de concret contre l'élevage industriel. Nous demandons avec insistance que la loi existante consistant les élevages de chiens et la vente soit élargie avec : - Une interdiction totale de la vente de chiens dans des magasins, - Une interdiction totale de la vente de chiens dans des puppyfarms (Un puppyfarm est un endroit, couvert ou non où l'ont vend des chiots ou autres chiens âgés de différentes races), - Une restriction du nombre de chiens qu'on peut utiliser pour l'élevage, - Une restriction du nombre de races avec lequel qu'on peut élever, - Un contrôle obligatoire des élevages par deux vétérinaires indépendants. Lors d'infractions, les permis doivent être retirés immédiatement, - Des importations de chiots d'autres pays sous conditions très strictes. http://www.gopetition.com/online/7599.html |
18/09/2006, 08h07
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Je ne connais pas cette personne, mais j'ai fait partir de ses heureux clients. Il y a quelques années, dans une de ses boutiques, j'ai acheté une petite ratte.
La petite ratte s'est avéré être un mâle et il n'était absolument pas sevré. Je vous passe les conséquences. Par contre... il me semble bien que les boutiques de ce Monsieur sont toujours OUVERTES. Jugement ou non.
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[size=xx-small]Faisons tous classer nos chiens en classe 2[/size] |
18/09/2006, 08h09
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Et elles ont de nombreux clients. Pour les parisiens en mal d'animaux de compagnie, le plus facile, c'est d'aller se servir ici.
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[size=xx-small]Faisons tous classer nos chiens en classe 2[/size] |
18/09/2006, 09h04
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c'est pour ça qu'il est très important de signer la pétition contre l'élevage industriel et les animaleries...
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les animaleries se fournissent chez des éleveurs sans scrupule qui ne pensent en aucun cas à l'interêt de l'animal mais plus à son porte-feuille... et d'animaux issus d'élevage douteux essencielement dans les pays de l'Est comme la roumanie et la hongrie par exemple... Elles participent aux traffics d'animaux domestiques pour le profit... IL NE FAUT JAMAIS ACHETER SON ANIMAL DANS UNE ANIMALERIE car on ne connait pas sa véritable provenance... le chien est malheureusement pas sevré et on cache se détail aux clients des animaleries qui achètent sur un coup de tête ou pour céder à un caprice d'enfants... Les animaleries vendent en plus leurs animaux énormément cher... En comparaison avec des éleveurs sérieux qui font du LOF, le chien peut être 50% plus cher dans les animaleries, et ils sont passé pour des chiens pur race... Pour exemple quand j'ai acheté volcan, je faisais les petites annonces dans le journal gratuit local, et je suis tombée sur une annonce de quelqu'un qui habitait près de chez moi... elle vendait son shitzu... je ne sais plus pourquoi mais je pense qu'il y avait des problème de comportement... (je crois qu'elle m'avait parlé de déménagement) j'ai demandé son age (car souvent les animaux à problème sont donné au début de leur age adulte ou un peu avant) et ou elle l'a acheté... aussi à quel prix... quand elle m'a répondu qu'elle l'a acheté en animalerie à 800€ ou plus je sais plus car elle me le revendais à 750€... je lui ai dis non et qu'elle s'est fait avoir (pour les raisons expliqués), ce n'était pas évidement un chien LOF... j'ai fini par trouver volcan dans un élevage sérieux, qui se contente de faire deux races, plus une troisième occasionnelement et je l'ai acheté pour 530€, déjà cher pour moi... j'ai décider de ne plus acheter mes chiens maintenant car, même si les éleveurs peuvent être sérieux, ce n'est que du commerce d'être vivant, du commerce de la vie... et ça me pose problème de conscience surtout qu'il y a beaucoup de chien malheureux dans les refuges qui n'attendent que du bonheur... conclusion, celui qui veut un chien, SURTOUT PAS DANS UNE ANIMALERIE, même si elle a bonne réputation... des éleveurs sont là pour vous conseiller et si vous avez des problèmes financiers, ce n'est pas là peine d'avoir une carte cofinoga ou autre, les éleveurs font la plus part du temps des facilités de paiement (c'est le cas de l'éleveur de volcan) ou même encore mieu, les refuges sont moins cher qu'un éleveur et encore plus qu'une animalerie... vous ferez une bonne action et un heureux... alors avant d'acheter un chien, il faut bien réfléchir car c'est pour 15 ans au moins que vous en prenez... |
18/09/2006, 10h58
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moi c'est fait, j'ai signé et avec plaisir faut arreter ca
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18/09/2006, 22h47
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moi aussi
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20/09/2006, 15h05
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je déplace ce topic dans celui là, pour pouvoir supprimer l'original...
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TRAFIC : Démantèlement d’un important trafic de chiens - One Voice La roue de la fortune a cessé de tourner pour une société de courtage canin installée dans la région angevine. Deux gérants et un vétérinaire ont été mis en examen et écroués pour escroquerie en bande organisée et complicité. Des milliers de chiots d’origine tchèque auraient été revendus en France sous une fausse identité. Pas de fumée sans feu Un courtier canin qui clame haut et fort revendre 7000 chiots par an issus de son propre élevage, d’élevages intégrés et de l’importation, cela avait interpellé One Voice. D’autant qu’au moment de cette déclaration, les principaux pays exportateurs n’étaient pas européens ce qui supposait une entrée légale des chiots en France à compter de 7 mois, âge peu compatible avec la vente en animalerie qui est de 2-3 mois. Sous étroite surveillance Nous décidons alors de suivre de près les activités de cette entreprise. Fin 2000, nous apprenons que la gendarmerie a intercepté un véhicule immatriculé en République tchèque, transportant illégalement une centaine de chiots destinée à cette société de courtage. One Voice s’empare de ces éléments et porte plainte contre le gérant pour mauvais traitements envers des animaux et importation illégale. Cette plainte déposée en 2001 sera classée sans suite. Parallèlement, un travail d’investigation est lancé. À plusieurs reprises, des enquêteurs de One Voice effectuent des repérages et des planques aux abords de l’exploitation. Nous entamons également un travail en collaboration avec les douanes pour tenter de repérer les jours de livraison des animaux. Chiots en détresse Grâce à un informateur, nous parvenons à établir une liste d’une soixantaine d’animaleries s’approvisionnant auprès de cet établissement de courtage. Nous recueillons également le témoignage de familles traumatisées après l’achat un chiot dans l’une de ces animaleries. Ces animaux malmenés dès leur plus jeune âge souffrent de maux divers, certains décèdent. L’analyse des documents accompagnant les chiots nous permet d’une part, de déterminer que leur âge est falsifié et d’autre part, d’identifier le vétérinaire français couvrant ces importations illicites. Nous nous employons alors à réunir suffisamment d’attestations pour monter un dossier de plainte. Case prison En 2005, les autorités nous contactent. Elles enquêtent depuis plusieurs mois sur cette société de courtage avec le concours de différentes administrations notamment les services vétérinaires, le fisc, les douanes... Nous leur transmettons des pièces importantes comme la liste des animaleries clientes. Après 17 mois d’investigation, en novembre 2005, les gendarmes mettent un terme à ce trafic international en procédant à l’interpellation de 15 personnes. Les deux principaux responsables ont été emprisonnés. Le vétérinaire, pièce majeure du dispositif, puisqu’il blanchissait les chiots en leur fournissant des papiers officiels, est mis en examen pour complicité et placé en détention. 70 chiots transitaient chaque semaine par cet établissement, selon les gendarmes. Achetés 80€ en Europe centrale, ils étaient revendus 1000 à 1500€ en animalerie. Des marges considérables qui en éveillant les soupçons ont conduit les instigateurs de ce trafic en prison. À la clôture de l’instruction de ce dossier, One Voice se portera partie civile. http://www.animaux-familiers.org/animal_en_danger/trafic.html TRAFIC : usine à chiots, chenils et animaleries du Québec Pendant encore combien de temps, le Québec restera-t-il sans législation pour ses animaux ? si vous voulez voir les photos et lire la suite : http://www.geocities.com/protectionanimale/usines.htm DOSSIER : information anti-animalerie voila notre dossier informatif ANTI ANIMALERIE est a la disposition de tous... vous pouvez le consulter sur le forum A.P.E.R.A.P. http://82993.aceboard.fr/82993-1713-3020-0-notre-dossier-ANTI-ANIMALERIE.htm |