vivisection, expérimentation animal : pour ou contre

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11/09/2006, 23h48
je voudrais savoir ce que vous pensez de l'expérimentation animal...
pour vous, y a-t-il une cause d'expérimentation plus importante qu'une autre...
vous connaissez mon avis sur le sujet je suppose... donc pour ceux qui sont pour :

http://www.covancecruelty.com/photos.asp
photo pas facile à voir...

vous trouvez ça comment ?
trouvez-vous ça vraiment indispensable ?
pensez-vous qu'il y a d'autre méthode qu'utiliser des animaux ?
si oui, pensez-vous qu'elles sont aussi efficace ?
pensez-vous que les animaux réagissent de la même façon au traitement que l'homme ?
et surtout, pensez-vous que les animaux ont leur place dans les laboratoires ?
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13/09/2006, 01h22
j'aimerais bien que vous regardiez les photos, elle font mal au coeur de voir cette souffrance animal mais il n'y a pas d'image sanguinolante...
pour pouvoir me dire ensuite votre avis et répondre aux questions précédentes...
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13/09/2006, 01h26
C'est un sujet archi débattu. D'après l'idée que j'ai pu me faire, je réponds non aux questions auxquelles il faut répondre non. Et oui aux autres.

Mais non, Mag, je ne vais pas aller voir les photos. J'en ai déjà vu trop.

Je suis désolée.

L'expérimentation animale peu être remplacée. Tout le monde le sait. Après, ce sont des questions qui m'échappent.

Mag... faut qu'on discute Smiley
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13/09/2006, 13h55
vous voyez, le protection animal, ce n'est pas des histoires d'amours à l'eau de rose...
donc si tu n'as pas envis de voir les images ou les vidéos que je poste, ne les regarde pas, tu n'es pas obligé, je ne force personne... et je comprendrais...
mais au moins, elles seront là pour celui qui veut s'informer, autant membre inscrit que visiteurs... et malheureusement beaucoup d'informations sont accompagnées de ces supports vidéos (le plus souvent) et photos...
De plus pour certaines choses, ce sont des bons supports pour faire ouvrir les yeux aux personnes qui ne regardent pas plus loin que ce qui ce passe chez eux...
(je ne parle pas de vous, mais en général)


Smiley
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13/09/2006, 13h58
Certes, oui... Mais tu nous parles à NOUS.

Sondage ? Combien pour la vivisection sur ce forum ?

Smiley Smiley
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13/09/2006, 14h00
Et un petit topo sur toutes les autres possibilités qui existent ? C'est une idée Mag. Smiley
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13/09/2006, 14h03
tu veux savoir quoi, quelles sont les méthode de substitution ? si c'est ça, je vais vous trouver ça tout de suite...
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13/09/2006, 14h06
OUAIS !!!! Smiley Smiley Smiley ça c'est positif ! ça me plait bien et ça donne encore plus envie de se battre !!! Smiley Smiley Smiley Super, Mag ! Smiley Smiley Smiley
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13/09/2006, 17h37
deux trois petites chose à vous faire lire un peu sur le sujet avant de mettre les méthodes alternatives...
un témoignage qui est assez ancien sur un laborantin :

TECHNICIEN EN ANIMALERIE DANS UN LABORATOIRE SCIENTIFQUE
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TÉMOIGNAGE D'UN ANIMALIER DANS UN GRAND LABORATOIRE
Voici un témoignage de Samir Mejri qui a travaillé pendant deux ans comme animalier dans un grand laboratoire pharmaceutique. Par acquis de conscience, il a démissionné et porté à travers un livre, le témoignage de la vie au quotidien d'un laboratoire parmi tant d'autres laboratoires.

En voici un extrait:

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ON VOUS TROMPE - DEPUIS L'ECOLE PRIMAIRE POUR VOUS ANESTHÉSIER

"Non, l'expérimentation animale ne garantit pas votre sécurité, elle garantit seulement le profit des marchands d'animaux et des laboratoires cotés en bourse."
JE NE SAIS SI J'AVAIS JAMAIS ENTENDU PARLER DE VIVISECTION. LA MAJORITÉ DES GENS CONNAISSENT LE MOT SANS JAMAIS SAVOIR DE QUOI IL S'AGIT RÉELLEMENT. SI ILS LE SAVAIENT, JE SUIS CERTAIN QU'ILS EN USERAIENT AVEC BEAUCOUP MOINS DE LÉGÈRETÉ.
J'ai devant moi la preuve flagrante que la tentative d'anesthésie selon les règles n'est pas possible. En pratique, on sautera cette étape...c'est du temps perdu pour rien...

" Elle écarte avec une pince la chair déjà entaillée permettant à la lame de s'enfoncer plus profondément, jusqu'à la dénudation des artères carotides. L'animal (non anesthésié) souffre de plus en plus le martyr. Malgré l'expression de ses tout petits yeux larmoyants, des mouvements violents de ses petites pattes et des tentations de morsures désespérées sur la main de la technicienne, celle-ci continue... Une centaine d'autres subissent le même calvaire."

Les chiens sont loin d'être juste des Beagles que ces messieurs prétendent utiliser exclusivement. Il y a là un Cocker, des sortes d'Épagneuls Breton, un Fox Terrier, et des chiens de berger bâtards.
ILS SONT TOUS DANS UN ÉTAT PITOYABLE, N'AYANT PAS D'AUTRE ENDROIT POUR VIVRE QUE CE CARRELAGE DÉTREMPÉ D'URINE ET PLEIN D'EXCRÉMENTS. ILS SONT D'UNE SALETÉ REPOUSSANTE...LES CHIENS SONT LÀ, TREMBLANTS DE PEUR.

En passant devant la porte ouverte, j'entends les gémissements d'un chien. Mais des gémissements faibles et très lents, une plainte langoureuse dont l'intensité sonore est basse, mais dont l'intensité émotionnelle est telle qu'elle s'infiltre en moi et me boulverse. Il y a dans cette complainte ce quelque chose d'universel, qui, malgré la barrière de la langue ou de l'espèce, vous fait ressentir avec acuité la souffrance d'autrui...Le chien est là, sur une grosse table en aluminium, allongé sur le dos. Les pattes attachées en croix, essaient dans des mouvements de torsions, arrachant la peau et les chairs, de se libérer de ces lanières...Des tas de tuyaux sortent de son ventre ouvert, je vois les intestins à nu, monter et descendre au rythme des gémissements respiratoires, ...sa gueule est maintenue grande ouverte par un grossier appareillage en fer " écarteur" - ( Écarteur voir le chien de droite).


"Ce chien n'est pas anesthésié?" - "Ben, si t'anesthésies les clebs, vu qu'on fait des recherches sur une nouvelle substance, on veut être sur que les résultats ne seront pas faussés par aucune autre substance."

Des images me martèlent le cerveau. Farid l'expérimenteur qui fracasse la tête des lapins contre le mur, les petits cris des rats à qui on enfonce la pipette de prélèvement dans l'oeil, les cris des gerbilles à qui on dégage les carotides, ces chiens qui refusent désespérément de rentrer dans la salle de cardio-vasculaire.

Le scalpel doit faire son oeuvre car j'entends un gémissement en fermant la porte. Je me souviens d'une phrase qu'un directeur m'avait glissée, l'air important et grave: "Avant de faire ses preuves, un produit se doit d'être évalué seul, sans autre perturbation chimique, donc sans anesthésie". Mais il faudra peut-être dix, vingt, trente protocoles pour une seule substance, consommant chacun une dizaine voire une vintaine de chiens et des centaines de petits rongeurs avant d'obtenir un résultat satisfaisant. Il vous suffit d'imaginer le nombre de domaines dans lesquels on cherche pour vous rendre compte de la consommation d'animaux ? Cela coûte des fortunes pour chaque protocole mais...le jeu en vaut la chandelle - Combien croyez-vous que rapporte la vente d'un nouveau médicament?

Puis il y a la livraison des lapins, des souris, des singes, des chiens, des chats, des cobayes, tous ces animaux étant la source d'un commerce lucratif avec démarches commerciales et luttes entre les élevages pour se maintenir sur le gourmand marché de la vivisection. D'ailleurs, il ne s'agit pas de la vente d'animaux, mais bien d'un commerce de matériel de laboratoire - selon les termes consacrés.

L'ARGENT DES COSOMMATEURS

"C'est l'argent des consommateurs, de vos impôts et très souvent vos dons à la recherche médicale qui permettent ces sévices qui, en dehors de ce contexte pseudo-scientifique, véritable état d'exception, condamneraient leurs auteurs à des peines relevant du Code Pénal.

Des méthodes de remplacement n'utilisant pas les animaux (méthodes substitutives) existent pourtant, mais pour ne pas les rendre obligatoires, les Gouvernements refusent de les valider. Ces méthodes ont pourtant fait leurs preuves dans de nombreux secteurs de la recherche et des laboratoires de pointe dans le monde entier les reconnaissent comme plus fiables, plus pratiques et moins coûteuses. De plus, elles fournissent une sécurité dont on peut mesurer le degré sur les effets à long terme, ce que ne permet pas l'expérimentation sur l'animal, comme le prouvent les nombreux médicaments retirés discrètement du marché après avoir entraîné des accidents graves, voire mortels (Thalidomide, Distilbène, Rangasil, Dupéran, Diflurex, Tigason, Glifanan et bien d'autres...).

De même les firmes multi-nationales chimico-pharmaceutiques, cotées en bourse, auxquelles chaque année sur le marché une multitude de produits, engrais, pesticides, produits d'entretien, testés eux aussi sur les animaux et responsables de pollutions dangereuses pour la Santé et l'Environnement et qui n'obtiendraient plus les autorisations de mises sur le marché s'ils étaient testés par des méthodes "in vitro" basées sur des paramètres humains.

Aujourd'hui, ce que l'on appelle le "génie" génétique a aussi son effet pervers en permettant la création d'animaux transgéniques, porteurs de gènes modifiés, de gènes d'une autre espèce ou même de gènes humains. Ces animaux fabriqués en laboratoires ou chez des éleveurs sont destinés à l'élevage - poulets porteurs de gènes bovins, porcs avec des gènes humains, etc... ou à la recherche scientifique, souris cancéreuses déjà brevetées,
un encouragement à la création de chats, de chiens,
de singes cancéreux ou porteurs d'autres maladies.

L'élevage des porcs porteurs de gênes humains en vue de transplantations d'organes est en plein essor !
On refuse de voir le danger que représente pour la santé humaine et l'environnement de telles pratiques et la création de nouveaux virus issus de ces mélanges de gènes d'espèces différentes qui peuvent se révéler aussi dangereux que celui du Sida.

Mais ce n'est pas la sécurité que l'expérimentation animale garantit mais la facilité et l'argent..., car la souffrance animale crée aussi des emplois : pseudo-chercheurs, techniciens de laboratoires, animaliers, fabricants de cages, d'appareils de contention, d'aliments, trafiquants, éleveurs, importateurs, voleurs de chiens, etc... Pourtant, les méthodes "in vitro" créent aussi des emplois, mais pas les mêmes!"

L'un de ces tortionnaires ou de ces mercenaires qui vit GRASSEMENT DE L'ARGENT SALE DU SANG DES BÊTES est peut-être votre voisin. Il mérite votre plus profond mépris car il est l'un des maillons d'un système, qui sans sa participation serait condamné à mourir.

Evidemment, on peut exprimer son désarroi de manière toute simple, comme ce jeune garçon anglais qui écrivit aux scientifiques qui voulaient construire le "Centre de Défense Chimique et Biologique de Porton Down : " Bonjour. Bien qu'ayant 14 ans, je ne comprends pas pourquoi vous êtes si cruels envers ces sympathiques animaux que sont les singes. Ils étaient bien dans leur forêt, ils ne vous ont rien fait ! Laissez-les donc tranquilles, je vous en prie ! Si au moins, c'était pour les étudier et les relâcher après... mais là, c'est pour les faire souffrir sur des tables d'opération. Loin de leur famille, loin de leur maison... Vous aimeriez qu'on vous fasse ça à vous ? Ne construisez pas ce centre qui ne sera qu'un abattoir ! ".

C'est si simple et plein de bon sens! Pourtant, cela ne les a pas empêchés de créer leur centre et de faire leur sale boulot sur des marmousets (sorte de ouistitis) pour tester des gaz de combat neuro-toxiques. Face aux attaques des Défenseurs britaniques des Animaux, les labos répondent que leurs travaux sont vitaux, pour fournir la meilleure protection aux forces armées, contre la guerre chimique et biologique.

Il est clair qu'on pourrait écrire des pages entières pour dénoncer le scandale de la vivisection, mais il est surtout difficile de comprendre l'acharnement des vivisecteurs à persister dans ce type de recherches qui, de toute façon, n'apportent pas de solutions. De plus en plus, des sommités scientifiques mondiales, d'associations antivivisectionnistes et même d'industriels réclament la généralisation des méthodes in vitro, en espérant que l'opinion et les usagers de la santé et de l'environnement évolueront dans ce sens.

A CHAQUE INSTANT, UN CRI....HALLUCINANT!

La lecture de ce document vous a demandé 3 minutes, Pendant cette période, 3 600 animaux sont morts torturés dans des laboratoires du Monde ( 20 à 30 par seconde, de nuit comme de jour ).

Sources:
Ligue Française contre la vivisection - 84, rue Blanche - 75009 Paris Tél.: 01 45 26 37 57 ( Extrait du livre de Samir Mejri, "Victimes silencieuses" Éditions Terradou ).
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13/09/2006, 18h06
je voudrais aussi, que vous lisiez une petite histoire d'un chien de laboratoire, c'est raconté, comme si le chien vous parlait...

MOI, PETIT CHIEN DE LABO...

Bonjour vous tous.. moi je n’ai pas de nom, difficile donc de me présenter et pourtant je peux expliquer qui je suis ; je suis un chien, un petit Beagle comme le disait maman. Au moment où je vous parle, je suis dans une toute petite cage, je sais que je vais mourir. J’ai tellement mal ! J’entends des cris ; des cris très proches et je sens une odeur, toujours la même.

Je ne sais pas si vous allez avoir envie de lire mon histoire, moi ça me fait du bien de vous parler ; ça me fait oublier un peu les douleurs que j’éprouve et surtout je n’ai jamais pu me confier à quelqu’un dans ma vie. Je n’ai jamais eu d’amis, vous êtes mes amis maintenant.

Je suis née il y a quelques mois, dans une toute petite cage. Ma maman elle était gentille mais elle ne pouvait pas jouer avec nous, elle était trop fatiguée. Nous nous la comprenions, ce n’était pas grave nous jouions ensemble, mais ça n’a pas duré. C’est à l’âge de 6 semaines qu’un homme est venu nous chercher, qu’on nous a séparé. J’avais vu des hommes, ils venaient nous nourrir, mais jamais ils ne nous touchaient, non ça jamais ! Pourtant nous leur faisions la fête nous, oui, toujours…

Ils nous ont pris par la peau du dos et nous ont jeté dans une caisse, je n’ai pas pu dire au revoir à ma maman, ni à mes frères et sœurs. Je ne les ai jamais revu.

Je me suis retrouvée dans une autre petite cage, celle où je me trouve toujours, il y avait plein de bruits bizarres; comme des sanglots sourds et des gémissements. Il y avait aussi cette drôle d’odeur que je ne pouvais définir !

Je ne suis plus un chien ici, je l’ai bien compris. Je suis du matériel, juste du matériel. A la place d’un nom, je porte un numéro.

Rapidement après mon arrivée, on est venu me chercher sans un regard, sans un geste. On m’a juste fait des injections et j’ai éprouvé une douleur hallucinante ; jamais je n’aurais cru qu’on pouvait avoir si mal. Ils veulent sans doute me soigner, mais me soigner de quoi ? Je n’ai que 6 semaines et pourtant je souffre tant !

J’entends toujours des cris, des gémissements mais ils sont tellement proches maintenant.

Parfois quand ils venaient me chercher ils riaient ensemble, ils avaient l’air heureux et moi je ne sais pas ce que c’est que d’être heureux, vous voulez bien m’expliquer?

Je me tortille dans ma cage pour essayer d’atténuer la douleur, elle devient trop forte. Je me suis traînée dans un autre coin. Je vois ma peau qui craque et ma chair est à nu ; mon ventre et tout mon corps me brûlent, je vomis depuis deux jours déjà et pourtant je n’ai plus rien dans l’estomac, alors je vomis tout rouge.

J’entends toujours ces gémissements, certains sont lointains mais d’autres tellement proches. J’ai envie d’être au calme, de ne plus rien entendre. Je pense à ma maman, comment va t-elle ? Est-ce que sa fatigue était due à la même souffrance ? Est-ce que moi aussi je vais avoir des petits ?

Maintenant je ne peux plus croire au bonheur, je ne le connais pas…

Ils viennent, je les entends. Je vais essayer comme à chaque fois de leur échapper, j’ai encore plus peur maintenant car je sais qu’ils ne veulent pas me soigner, je le sais car je n’avais pas mal avant qu’ils ne viennent.

J’urine sous moi à chaque fois que j’entends leur pas, pourquoi les hommes sont t-ils si méchants ?

Je n’ai que 2 mois et demi et pourtant j’ai tellement peur, et pourtant j’ai tellement mal. Il y a toujours ces cris et toujours cette odeur…

Comme toutes les heures depuis deux jours, le même homme s’arrête devant ma cage et note sur un papier, il a l’air satisfait; c’est le même qui souriait il y a deux jours quand ils m’ont forcé à avaler du liquide.

Ma cage est très sale, depuis deux jours, on ne m’a plus approché, ils viennent juste me regarder souffrir.

Ca y est, cette fois je les entends venir à moi mais bizarrement je n’ai plus mal ; les gémissements lointains sont toujours là, mais les plus proches ont disparu ; ils me soulèvent. Je ne bouge plus et pourtant je vois tout, tout ce que je n’avais pas vu auparavant ; les dizaines d’autres chiens comme moi, tous aussi terrorisés.

Je traverse avec eux cet endroit, ils vont m’ouvrir le ventre maintenant, je ne sens plus rien. Ils peuvent me faire ce qu’ils veulent, je n’ai plus mal. Je serais plus forte qu’eux ne le seront jamais, plus forte et je n’aurais jamais leur cruauté.

Je viens de comprendre que les cris que j’entendais et l’odeur insoutenable que je sentais c’étaient les miens. J’étais déjà morte avant qu’ils en commencent, j’étais condamnée avant ma naissance.

Ma vie, elle a commencé comme ça, dans une toute petite cage et elle a fini de la même façon, sans amour, sans un regard.

Je suis heureux maintenant, je sais ce qu’est le bonheur, c’est juste de ne pas avoir mal. Mais ce que je ne comprends pas c’est pourquoi moi ? Pourquoi m’ont t-il fait tout cela ? Qu’est je bien pu leur faire ?

Je ne le saurais jamais, ça je l'ai compris. Mais au fond de moi, je ne leur en veux pas. Maintenant je sais ce que j’étais, j’étais un chien ; un chien de labo.


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13/09/2006, 18h10
une autre histoire à lire, c'est cette fois-ci celle d'un singe, qui vous écrit une lettre...

Bonjour,
J'ai des choses à te raconter, moi, petit singe de laboratoire...

On ne se connaît pas, on ne s'est jamais vus.
Je sais que tu es très occupé(e) et que tu as énormément de choses à faire, mais j'aimerais que tu m'accordes quelques instants, j'ai des choses à te raconter.

on m'a enlevé à ma mère peu de temps après ma naissance. Des «phychologues» m'ont enfermé dans un «puits du désespoir»: un haut et étroit cylindre de métal dans lequel ils m'ont laissé pendant 45 jours, je suis resté pris là, tout seul, recroquevillé, les bras autour de mon petit corps... les phychologues voulaient en arriver à certaines conclusions sur l'impuissance et le désespoir qui caractérisent la dépression humaine.
on m'a enfermé avec une fausse maman ( mère de substitution ) que je prenais quand même dans mes bras, pour me sentir moins seul... mais, de temps en temps, sans prévenir, ma fausse maman me lancait des piquants (chocs électriques)... alors, je m'éloignais pour me protéger en pleurant... et j'attendais dans mon coin que les pics disparaissent avant de revenir me blottir dans ses bras... les phychologues ont voulu tirer des conclusions sur le comportement d'un enfant en situation de rejet maternel.

...Bien sûr, je sais que plein de gens sur la terre vivent de grandes souffrances, par exemple, des enfants sont séparés de leur maman, des femmes sont battues, des grands-parents sont abandonnés, des gens sont victimes de la guerre ! et ce que je veux te dire n'enlève rien à leurs malheurs.
Mais ça me fait du bien de te parler de moi, on m'a fait courrir longtemps dans une roue, comme celle pour les petits hamsters, tu sais, je devais apprendre à courrir à une certaine vitesse et pas moins vite, si j'allais pas assez vite, on m'administrait des chocs électriques. En plus, on m'a administré des produits toxiques et des doses de rayonnement radioactif, j'ai eu très mal au coeur. J'ai fini par restituer, alors j'ai arrêté de courrir... ils me donnaient des chocs électriques plus forts... alors, je recommençais à courrir dans mon vomi... tant et aussi longtemps que j'ai pu... tout ça pour que les «scientifiques» puissent tirer des conclusions sur les effets de radiations sur la capacité au travail.

On m'a mis une boîte de métal sur la tête, on a frappé dessus à coups de marteau pour me causer des traumatismes crâniens et examiner l'état de mes réflexes après cette torture. d'autres coups de marteau étaient nécessaires pour m'enlever cet enfer de métal. les «chercheurs» voulaient ainsi savoir dans quel état seraient les réflexes d'êtres humains après avoir subi un traumatisme crânien !

Beaucoup de membres de notre famille sont ainsi massacrés inutilement et avec cruauté. tout cela, dans l'indifférence la plus totale. là, je voulais juste te le dire... pour que tu saches... pour que ces martyrs cessent un jour... un peu grâce à toi !

ça m'a fait du bien de te raconter ma misère et celle de tant et tant d'autres petits singes. je pourrais continuer à te raconter les tortures qui nous sont infligées... la liste est longue... heureusement certains d'entre nous ont la chance de vivre en paix dans la nature, avec leur famille. il paraît que c'est très beau la nature, je suis content pour eux.

Je garde quand même un bon moral pour l'avenir... car ces mots sont au creux de tes mains, au creux de ton coeur... et il n'y a pas de place meilleure pour moi, petit singe de laboratoire!

Merci de m'avoir lu jusqu'au bout.

Si tu aimes les petit singes et autres animaux, s'il-te-plaît, tes proches et toi, aidez-nous, protestez, écrivez au gouvernement, informez-vous, et si tu veux plus de renseignements sur l'expérimentation animale, tu peux écrire ou téléphoner à la société québécoise pour la défense des animaux :

S.Q.D.A.
847, Rue Cherrier, Bureau 102,
Montréal, Québec,
H2L-1H6

Tél : (514) 524-1970
Courriel: [email protected]

Texte provenant du site R.A.G.E
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13/09/2006, 18h14
Les méthodes substitutives sont plus humaines, souvent plus rapides, moins chères et plus fiables.

Il existe un grand nombre de méthodes de recherche substitutives à l'expérimentation animale, qui non seulement constituent une approche scientifique plus humaine, mais qui sont souvent moins coûteuses, plus rapides et plus efficaces. Il s'agit des cultures de cellules, de tissus et d'organes, du recours à des micro-organismes comme les bactéries, de la biologie moléculaire, des études de tissus post-mortem, des simulations sur ordinateur, des études statistiques sur les populations (en épidémiologie) et de la recherche clinique sur des patients humains volontaires.

La loi européenne stipule clairement que l'on ne doit pas recourir à des expérimentations sur des animaux lorsqu'il existe une méthode substitutive. Selon l'article 7.2 de la Directive européenne 86-609 (qui concerne l'expérimentation animale au sein de l'Union Européenne), "Il ne sera pas effectué d'expérience s'il existe une possibilité raisonnable et pratique d'avoir recours à une autre méthode scientifiquement acceptable et n'impliquant pas l'utilisation d'un animal pour obtenir le résultat recherché."

L'article 23.1 stipule également que les gouvernements de l'Union Européenne devraient promouvoir les alternatives à l'expérimentation animale: "La Commission et les Etats membres devraient encourager la recherche visant à mettre au point et à éprouver d'autres techniques susceptibles de fournir le même niveau d'information que celui obtenu par des expériences effectuées sur des animaux mais qui utilisent moins d'animaux ou des procédures moins douloureuses."

Cependant, malgré la protection que la loi est censée garantir aux animaux de laboratoire, les choses se passent souvent d'une manière différente dans la réalité, en raison d'un financement inadéquat du développement des méthodes substitutives, d'un manque de volonté politique de faire de la recherche par les méthodes substitutives une priorité, d'une réticence de la part des chercheurs à envisager des méthodes substitutives, l'expérimentation animale constituant leur méthode 'habituelle', d'une attitude conservatrice de la part des autorités réglementaires, qui continuent de s'attacher à l'expérimentation animale, et en raison également du processus même de validation des nouvelles méthodes de test, qui peut demander plusieurs années (typiquement, entre 9 et 11 ans) avant que l'utilisation d'une méthode substitutive soit admise en total remplacement des tests sur les animaux.

La Coalition européenne travaille à obtenir que l'on révise la législation et les directives existantes pour y inclure des méthodes substitutives de tests, destinées à remplacer l'expérimentation animale, et à obtenir que l'on consacre au développement des futures méthodes substitutives un financement suffisant. Des documents scientifiques préparés par la Coalition européenne, ainsi que des communications détaillées avec des membres de la Commission et du Parlement Européens, ont déjà permis de mieux comprendre les avantages des stratégies substitutives de tests pour l'évaluation de l'innocuité des substances, dans un souci de protection des consommateurs et de l'environnement.

Voici simplement quelques exemples de méthodes substitutives:

Culture de cellules et de tissus
On peut cultiver en éprouvette des cellules végétales ou humaines. Les cellules et les tissus humains peuvent être obtenus à partir de biopsies, de prélèvements post-mortem, de placentas ou de procédures chirurgicales. Il est ainsi possible d'obtenir toute une série de cultures cellulaires: des cellules humaines cancéreuses ou des globules sanguins pour chercher comment des virus provoquent une infection, des cellules placentaires humaines pour tester si des médicaments peuvent traverser le placenta, ou des ensembles de cellules humaines pour étudier l'effet de médicaments anti-rhumatismaux. Les cultures de cellules et de tissus peuvent être très sensibles aux substances chimiques, ce qui permet aux chercheurs d'étudier des parties spécifiques bien ciblées de l'organisme. Des cultures de cellules ont déjà été utilisées dans la recherche sur le cancer, sur la maladie de Parkinson, sur le SIDA, dans la mise au point de nouveaux médicaments, en toxicologie et dans l'étude de la maladie d'Alzheimer.

Les micro-organismes
L'être humain partage un certain nombre de caractéristiques avec des organismes microscopiques tels que les bactéries et les levures. Les humains et les bactéries ont en commun la même base génétique: l'ADN.
Les tests bactériologiques permettent de détecter les altérations génétiques provoquées par les substances chimiques ou par les radiations. Leur utilisation est rapide et peu coûteuse. Il est possible également de réaliser des manipulations génétiques sur les bactéries, pour fabriquer des produits utiles que l'on obtenait auparavant à partir des animaux, comme l'insuline humaine ou les anticorps monoclonaux.

La simulation et la modélisation sur ordinateur
Avec l'aide de puissants ordinateurs, il est possible de modéliser la structure et l'action de substances chimiques ou de nouveaux médicaments, et d'en prédire la toxicité. On peut aussi modéliser sur ordinateur des organismes biologiques entiers. De tels modèles peuvent être fondés sur des données concernant l'être humain, et peuvent prédire l'action d'une substance à partir de sa structure moléculaire. Le QSAR (Quantitative Structure Activity Relationships) est un exemple de ce genre de modélisation.

L'imagerie sur ordinateur
La recherche sur le cerveau est un domaine dans lequel on utilise beaucoup d'animaux: rongeurs, chats, primates. Il est pourtant facile de réaliser des études selon des méthodes plus humaines, en recourant à des techniques d'imagerie non invasives, et les données que l'on obtient ainsi n'en sont que plus fiables. Ainsi, par exemple, la tomographie d'émission à positron (Positron Emission Tomography - PET), une technique d'imagerie, permet de représenter l'activité cérébrale humaine en utilisant du glucose marqué par un traceur radioactif, que l'on administre à des volontaires (la radioactivité étant très faible ne constitue pas un risque pour la santé). Le principe de fonctionnement de cette technique est que les cellules actives du cerveau consomment du glucose, et que l'on peut les identifier grâce au marquage radioactif. On demande au volontaire d'effectuer des tâches spécifiques, comme par exemple de mémoriser des images ou des mots, et on identifie les cellules cérébrales responsables de cette activité particulière. Cette technologie permet également d'étudier les maladies neurologiques et de diagnostiquer des tumeurs cérébrales. L'imagerie par résonance magnétique (IRM) et l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMF) permettent d'obtenir des représentations anatomiques détaillées du cerveau ou d'autres organes comme le cœur, les veines et les artères. Ces deux techniques sont fondées sur la production d'images à partir d'ondes radio (qui ne sont pas dangereuses). L'IRM permet de diagnostiquer des maladies du cerveau et du système nerveux central. L'IRMF peut servir, entre autres, à mesurer l'afflux sanguin au cerveau (et donc la consommation d'oxygène de celui-ci), ainsi qu'à détecter les parties du cerveau qui sont responsables de certaines fonctions spécifiques et à observer les changements intervenant au cours du temps dans la physiologie cérébrale en détail.

L'épidémiologie
Il s'agit des 'études de populations', destinées à mettre en évidence les liens entre une maladie et des caractéristiques du style de vie comme le régime alimentaire ou les activités et les habitudes individuelles. La technique n'est pas nouvelle, mais elle s'est développée à partir d'observations faites sur des maladies infectieuses. La fiabilité des études épidémiologiques est telle que les scientifiques peuvent identifier les causes d'une maladie et proposer une action préventive. L'expérimentation animale passe souvent totalement à côté de ce genre de découvertes.
Dans les années soixante-dix, par exemple, le Professeur Richard Doll, en étudiant l'incidence du cancer du poumon chez les fumeurs et les non-fumeurs, avait découvert le lien entre ce cancer et le tabagisme. Jusqu'alors, l'expérimentation animale n'avait pas permis d'établir ce lien. Parmi les autres domaines d'études des populations humaines ayant un impact significatif sur notre santé, on peut citer les liens mis en évidence entre le cancer de l'intestin et la consommation de graisse animale, ou entre les rayons UV et le cancer de la peau.

Les études sur des cobayes humains volontaires
Il s'agit de recherches menées sur des volontaires en bonne santé. Ainsi, par exemple, des moyens d'analyse très sensibles permettent de détecter des traces infinitésimales de médicaments dans le sang ou dans d'autres fluides corporels. Les médecins peuvent ainsi obtenir des renseignements vitaux sur la manière dont notre organisme utilise et élimine le produit étudié.

Source : http://www.eceae.org/francais/alternatives.html

Vous trouverez ci-dessous un bref aperçu de quelques méthodes expérimentales modernes qui pourraient être utilisées dans le cadre du programme de tests chimiques pour remplacer le modèle animal :

La toxicité aiguë (de courte durée) peut être étudiée grâce au système de culture cellulaire (in vitro), et ce parce que les effets produits par les produits chimiques toxiques se manifestent essentiellement au niveau cellulaire. Par exemple, une série de 4 tests de culture cellulaire peut prédire le niveau de toxicité chez l’homme avec presque 85% de précision (contre 65% de précision pour les études de toxicité aiguë utilisant les animaux). Dans quelques années, cette méthode devrait pouvoir remplacer l’utilisation terriblement cruelle des animaux dans les tests aigus d’empoisonnement mortel.

Les test d’irritation cutanée peuvent être effectués sans recours à l’ animal, grâce a l’aide de bénévoles qui acceptent de participer a des tests cutanés ‘skin patch’ brefs et non-invasifs. Les tests d’irritation cutanée irréversibles (corrosion) peuvent aussi être effectués grâce a des méthodes non-animales largement acceptées telles que CORROSITEX™, EPIDERM™ et EPISKIN ™ qui consiste en un test sur peau humaine reconstituée. Le degré d’absorption du produit chimique par la peau peut aussi être mesuré dans des cultures de cellules de peau humaine prélevée post-mortem. Les methodes ci-dessus sont toutes largement acceptées par les régulateurs internationaux et devraient être utilisées pour remplacer complètement les expérimentations animales pour les tests d’irritation cutanée, les tests de corrosion et d’absorption.

Les tests d’irritation oculaire sont presque identiques aux tests d’irritation cutanée, c’est à dire qu’un produit chimique qui irrite la peau irritera aussi les yeux. C’est la raison pour laquelle les tests d’irritation oculaire chez les animaux devraient être stoppés immédiatement. Les régulateurs gouvernementaux devraient plutôt utiliser les résultats de tests de corrosion et d’irritation cutanée pour prédire l’irritation oculaire potentielle.

La sensibilisation cutanée ne peut pas encore être étudiée uniquement grâce a des méthodes non-animales. Cependant, une méthode de tests moins contraignante permettant également de réduire le nombre d’animaux utilisés (cela s’appelle le Local Lymph Node Assay) a été développée et devrait être utilisée en remplacement de l’actuel test de maximisation des cobayes.

La toxicité a dose répétée peut être etudiée grace à des cultures cellulaires provenant de tissus corporels différents, ceci afin d’évaluer l’influence d’un produit chimique sur différents systèmes d’organes. Par exemple, les cellules de foie humaines en culture peuvent êtres soumises à de petites doses répétes d’un produit chimique afin d’étudier la façon dont la substance est cassée (métabolisée) par le corps et d’identifier tout produit dérivé toxique (métabolites) pouvant apparaître au cours du processus. Des cultures de cellules humaines stables ont été produites pour le système rénal, nerveux, immunitaire, reproductif et pour d’autres systèmes d’organes essentiels. Une stratégie de tests “a échelons” combinant plusieurs de ces tissus dans des cultures et utilisant modèle mathématique et informatique peut supprimer le recours au modèle animal pour les études de toxicité a dose répétee.

La toxicité génétique (mutagénicite) peut être étudiée entièrement sans recours à l’utilisation animale. Trois méthodes en particulier (l’étude bactériologique de mutation inverse, In Vitro le test de mutation génétique cellulaire in vitro et le test d’aberration chromosomique) ont été approuvés par les gouvernements régulateurs du monde entier comme méthodes substitutives valables pouvant remplacer l’utilisation animale. Les tests de toxicité génétique sur les animaux devraient donc être abandonnés immédiatement.

La toxicité reproductive et certains aspects de la fonction reproductive male et femelle peuvent, être étudiées in vitro jusqu’à un certain degré, et de nombreux composants cellulaires d’organes de reproduction peuvent être conservés dans des cultures cellulaire. Bien qu’aucune méthode expérimentale n’ait encore été utilisée ou validée pour utilisation de routine dans les études de toxicité reproductive, il est possible qu’à l’avenir un tel système puisse devenir un modèle courant pour les cycles de reproduction male et femelle, ce réduisant ou remplaçant l’utilisation animale dans des tests de toxicité de la reproduction.

La toxicité de dévelopment (tératogénicite) peut être etudiée grâce à des cultures cellulaires utilisant un test sur cellule souche embryonnaire, actuellement en phase d’être validé comme détecteur de malformations de naissance. Des études préliminaires avaient indiqué que les cellules souches embryonnaires pouvaient prédire la toxicité chez l’homme avec plus de 80 pour cent de précision. On espère que dans quelques années, cette méthode pourra éliminer l’utilisation d’animaux pour les tests de toxicité de développement.

De façon plus générale, le modèle suivant basé sur ordinateur s’est révéle très prometteur en contribuant au remplacement des animaux dans les tests de toxicité:

Les analyses de rapport structure-activité (SAR) prédisent grâce à l’informatique la réponse biologique aux produits chimiques en se basant sur leur structure moléculaire, leur poids et leur charge électronique. On peut utiliser des données SAR pour estimer, sans avoir recours au modèle animal, si un produit chimique spécifique produit un effet tel que la toxicité. Il s’est avéré que les SARs pouvaient prédire des effets tels que la sensibilisation cutanée, la toxicité de développement et la cancérogénicite avec une précision de 85 à 97% pour des groupes de produits chimiques associés. Bien que le modèle SAR se soit montré extrêmement utile dans la détection de produits chimiques, il ne constitue pas le seul moyen de substitution. Il doit donc être combiné avec d’autres méthodes non-animales, tels que les systèmes de culture cellulaires.

Le modèle mathématique basé sur ordinateur utilise ce dernier pour fabriquer un modèle a partir de systèmes biologiques vivants tels que les systèmes respiratoires et circulatoires. Par exemple, les modèles biocinétiques basés sur la physiologie (PBBK’s) permettent d’étudier l’absorption, la distribution, le métabolisme et l’expulsion d’un produit chimique par le corps grâce à l’ordinateur. Ils peuvent aussi être utilisés pour déterminer la relation entre la dose d’un produit chimique et un effet métabolique particulier. Un de ces modèles, le ED01, étudie la production de tumeurs en réponse a une exposition chimique. Il peut détecter une activité tumorale grandissant d’1% pour des niveaux d’exposition beaucoup moins élevés que ceux utilisés dans les études de toxicité chez les rongeurs.

Source : BUAV
http://www.stopeuchemicaltests.com/fr/alts.html
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14/09/2006, 17h56
Smiley Trop triste les histoires Smiley Honte à ceux qui ont fait ça !!! Smiley Smiley
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http://img443.imageshack.us/img443/79/irisrj6.jpg
SmileyMa grosse Tomme je t'aimais Smiley
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