Hommage a notre memphis qui nous a quitté ce 13 novembre 2010

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14/11/2010, 17h04
Notre Menphis d'amour s'est endormi pour toujours hier.
Je tiens à lui faire un hommage a ce chien merveilleux que j'aimais tant que nous aimions tant, ma mère, mon frère et moi.

Mon laboudoudou, c’est ainsi que je te surnommais.

Les maux de l’âge te faisait plein de bobos, maman et moi faisions tout notre possible pour que tu vive une bonne vieillesse avec de bons traitements, ce qui te faisait beaucoup de bien au début .Malgré que tu aimais toujours jouer avec ton pouic-pouic, que quand je rentrais chez maman, tu étais le premier à venir me dire bonjour malgré ta difficulté à te lever, cet arthrose + la fonte musculaire aux pattes arrières te faisait trop souffrir, ton corps n’en pouvait plus, n’avais plus de force.

Mais tu arrivais quand même vers moi en remuant la queue pour me saluer, sans oublier de prendre le pouic-pouic que je t’avais offert à ta 12 ème année. Étonnant, C’est le seul jouet que tu n’as pas détruit. Tu l’aimais beaucoup ce joujou.

Et voilà que en plus de ta mobilité qui devenait de plus en plus difficile, ton œil droit faisait un début d’hémorragie, alors que l’on avait dût te retirer l’œil gauche 2 ans plus tôt a cause d’un glaucome, afin de te garder encore quelques années avec nous. Ces quelques années ont durées 2 ans, tu as bien vécu l’opération pendant et après malgré ton vieil âge, tu as vite retrouvé la forme, tu étais un battant.14 ans pour un labrador, les gens trouvaient ça étonnant et ne te donnais pas ton âge.

Oui , il y a 14 ans que tu es arrivé a la maison, j’étais encore jeune et vivais encore chez maman, tu es arrivé a l’âge de 2 mois, peu de temps avant noël .Tu était si adorable et timide. Assez vite, tu as trouvé ta place dans ta famille et a commencer à faire les plus grosses bêtises, vider les poubelles, déchiqueter les chaussures, manger les téléphones, tu n’aimais pas sa sonnerie quand tu étais tout jeune, cela à duré longtemps, ta crise d’adolescence a été longue mais il parait que c’est courant chez les labradors, mais tous ça n’empêchait pas l’évolution de l’amour et l’attachement que nous ressentions pour toi.

Maman piquait souvent des crises à cause de toi, mais tu arrivais toujours à te faire pardonner quand tu faisais tes yeux de cocker.

Puis tu es devenu plus sage, au début tu nous faisais rire car tu faisais pipi comme les femelles, tu n’as jamais levé la patte, faire le mâle et marquer toutes les 2 minutes pendant la ballade ce n’était pas ton truc, mais tu étais vif, intelligent tu apprenais et comprenait vite, toujours quand même un peu foufou, tu aimais souvent faire ton clown. Tu te montrais doux et délicat auprès des enfants.

Et particulièrement auprès d’un enfant à qui tu apportais ta présence, ton amitié, protection et réconfort.

Tu savais très bien te faire comprendre. A une époque, tu as eu un moment de chagrin comme nous et tu as commencé à te lécher les pattes jusqu'à sang, nous soulagions notre douleur avec des médicaments mais nous t’avions oublié, toi aussi tu avais besoin d’apaisement.

Tu aimais blottir ton museau au creux du bras pour faire un câlin. Je me souviens, ce n’était pas si longtemps la dernière fois, des ballades que nous faisions ensemble, il y a un temps alors que tu avais encore la forme, je t’emmenais souvent avec moi le dimanche matin pour faire un jogging et tu étais toujours prêt m’attendre devant la porte.

Tu adorais l’eau, dès qu’il y avait un plan d’eau tu ne pouvais pas t’empêcher d’y plonger, et les ruisseaux, tu adorais jouer avec les galets en les déterrant avec tes pattes.

Ton jeu favori était de rapporter. Il n’y avait pas de sorties sans un frisbee ou une balle de tennis.
Je me souviens aussi ce jour là, pendant une période de vacance à la montagne, j’ai voulu me promener et je t’ai pris avec moi, sur le chemin qui était encore humide par la rosée, j’ai glissé dans une descente et je me suis fait mal à la cheville, je ne savais comment remonté et je te vois te sauver, j’ai eu très peur sur le coup et je t’ai appeler mais tu ne revenais pas, mais 2 minutes après je t’ai entendu aboyé de l’autre coté vers ma direction, tu avais trouver un chemin facile d’accès, je suis sûr que tu avait compris ce jour là, que j’étais coincé.

Ton caractère n’a jamais changé, même malgré qu’à l’âge de 8 ans tu commencé à devenir aveugle.
Quand le vétérinaire nous a annoncés que tu avais une cataracte qui allait évolué très vite et que tu allais devenir entièrement aveugle. Nous nous somme beaucoup inquiéter pour toi, on se demandait comment tu allais le vivre et comment tu allais pouvoir te repérer dans ton environnement.
Mais tu t’es très vite adapté a cette cécité et que même au bout d’un moment on pouvait retirer la laisse au parc et tu pouvais gambader librement, tu ne t’es jamais pris un seul arbre ou un banc, bon a part au début j’avoue que tu t’en es pris 2 ou 3 et tu t’es mis a te re-lècher les pattes au tout début, mais ça n’a pas duré. Tu avais un très bon flair, ce qui t’a beaucoup aidé.
Puis avec les années qui passent, tu as perdu peu à peu de ta vigueur, tu préférais quelques bonnes ballades quotidiennes et puis de plus en plus courtes.

Puis est venu le glaucome, l’intervention, puis l’arthrose qui s’installait petit a petit et tu ne voulais presque plus sortir a cause des douleurs et préférait faire ton pipi dans la maison, mais maman comprenait et ne t’en voulait pas.

Jusqu'à ce jour où tu n’avais plus la force et que même les meilleurs soins ne t’auraient plus soulagé, tu étais trop fatigué…..

Et nous ne voulions pas que tu t’en aille dans la douleur. On n’a choisi que tu partes en t’endormant en paix, maman et moi auprès de toi sous nos mots d’amours et nos caresses, avec beaucoup de douceurs et de tendresses, peut-être pas assez a nos yeux car tu en méritais tant. Ce samedi 13/11/2010.

Maman et moi nous t’aimons très fort, ta présence nous manque et nous manquera toujours, tu nous laisse un grand vide à la maison de maman…..Au réveil, le matin, au petit déjeuner, elle te donnait toujours ton petit biscuit, peut-être en a tu a volonté là ou tu es, mais maman a gardé l’habitude de ce geste, peut-être qu’elle aura encore ce réflexe pendant quelques temps et se rendre compte, accepter, que tu n’es plus là.
Mais nous savons que tu n’es pas si loin et que tu n’es pas tout seul là où tu es, quelqu’un de très cher a nos cœurs, qui t’aime beaucoup t’attendait. Âme dont le terme provient du mot latin anima qui a donné animé, animal et je sais que l’on se reverra mais si le temps seras long pour nous.
Les liens et l’amour qui nous unie sont éternel même si je ne te vois plus. Tu es et seras toujours présent dans mon cœur, dans nos cœurs. …
Mon Memphis , mon laboudoudou avec un cœur en Or. Merci pour ces 14 années de bonheurs que tu nous as offert, merci pour cette complicité que nous avons partagé toi et moi, ces moments de joie, de jeux, de tendresses.
Merci au destin de nous avoir envoyé dans notre vie cette petite boule de poil adorable qui est devenu un chien merveilleux..

Nous ne t'oublierons jamais..........Nous t'aimons.


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14/11/2010, 17h24
Il a eu beaucoup d'amour ce "laboudoudou" et vous avez pris la bonne décision de le laisser partir sans souffrance entouré de vous deux qui le câlinaient une dernière fois.

Comme je te l'ai déja dit, malheureusement seul le temps atténuera votre peine et les souvenirs de vos 14 ans de bonheur resteront toujours.

Menphis est au Pont-Arc-en-Ciel et il veille sur vous

Quand un animal qui a été proche de quelqu'un ici meurt,
cet animal voyage jusqu'au Pont d'Arc-en-Ciel.
Il y a des prés et des collines pour tous nos amis spéciaux
pour qu'ils puissent courir et jouer ensemble. Il y a de la
nourriture et de l'eau en abondance, le soleil brille toujours, et nos amis sont au chaud et confortables.
Tous les animaux qui avaient été malades et vieux sont redevenus pleins de santé; ceux qui avaient étés blessés ou mutilés sont redevenus entiers et forts de nouveau, comme nous nous les rappelons dans nos rêves des jours heureux passés ensemble.
Les animaux sont heureux et contents, sauf pour une petite chose :
quelqu'un de très cher leur manque ; quelqu'un qui a du être laissé sur Terre.
Nos amis courent et s'amusent ensemble, mais le jour vient quand l'un d'eux s'arrete soudainement - et il regarde au loin.
Ses yeux lumineux sont attentifs ; son corps tremble.
Tout d'un coup il se sépare du groupe, volant au-dessus
de l'herbe verte comme un oiseau ses jambes le portant de plus en plus rapidement.
VOUS avez été repèré, et quand vous et votre cher ami sont finalement réunis, vous vous accrochez l'un à l'autre pour ne plus jamais etre séparés.
Il couvre votre visage avec ses baisers heureux ;
vos mains caressent encore et encore sa tête tant aimée,
et vous regardez une fois de plus dans les yeux de votre ami remplis de fidélité, si longtemps absents de votre vie mais jamais absents de votre coeur.

PUIS VOUS TRAVERSEZ LE PONT EN ARC-EN-CIEL ENSEMBLE...

Smiley Smiley Smiley
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14/11/2010, 20h00
Magnifique hommage pour ton loulou, très touchant. Repose en paix laboudoudou Smiley

Smiley Smiley pour toi et ta maman
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